d9z1x8c98z

HEAT, le nouveau food court de 600 m² qui régale Confluence

Publié le 15 juillet 2019 à 09h05

Modifié le 17 août 2019 à 10h07

par Antoine Lebrun

A Lyon, les projets gourmands fleurissent comme jamais. Après l’ouverture de la Commune et l’annonce du projet sur le toit du centre commercial de la Part-Dieu, un nouveau spot 100% food a ouvert le 15 juillet en plein coeur de Confluence. Bienvenue chez HEAT, le dernier bébé de l'association Arty Farty.


L'été dernier, la Métropole de Lyon nous présentait un nouvel hotspot : H7. Cet incubateur géant de 4 200 m2 géré par trois entités bien connues de la région (le groupe SOS, Axeleo et Arty Farty) s’est installé dans les anciennes Halles de Girard pour accueillir et accélérer les startups les plus ambitieuses. Et c’est au coeur de cet incubateur qu’un incroyable projet food a vu le jour depuis le lundi 15 juillet : Heat.

Véritable porte-étendard de la culture street-food et des tendances culinaires de demain, Heat est un immense food market de 600 m2 garni d’anciens containers maritimes transformés en kiosques gourmands et d’assises confortables pour une régalade optimale. Au menu : la crème des entrepreneurs food d’aujourd’hui et de demain bien décidés à expérimenter leur vision de la gastronomie du futur.

4 containers food, une communauté de 150 restaurateurs et des évènements

Grâce à son architecture novatrice et unique, Heat a la capacité unique de pouvoir être totalement déplacé pour prendre part à divers évènements à travers la ville. Porté par Toast, la nouvelle filiale de Culture Next, (présidé par l'association Arty Farty), ce paradis culinaire entièrement modulable rend un hommage appuyé à la street-food et à la bistronomie.

Et pour la première semaine d'exploitation, la nouvelle halle à manger nous concocte un programme aussi chargé qu'appétissant. Au menu : les pizzas de La Boîte Rose et Himalia, la cuisine tropicale de Casa Jaguar, les bagles de l'Estance du Marché, la cuisine latine de Mas Amor Por Favor, le bar à chocolat Ikône et même un bar pour siroter de bonnes boissons fraîches et cocktails.

En parallèle, de nombreux évènements rythmeront cette première semaine avec notamment un tournoi de ping pong, du jazz cuisine, de la sérigraphie, un opein air et un grand brunch ce dimanche pour régaler les estomacs sur pattes que vous êtes. Et du coup, on y sera aussi...


HEAT
70 quai Perrache - Lyon 2e
Entrée libre
Plus d'infos

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
lyonnais-favorables-fermeture-zoo-lyon

La majorité des Lyonnais favorable à la fermeture du zoo du parc de la Tête d'Or selon une étude

Publié aujourd'hui à 19h00

par Antoine Lebrun

Pendant longtemps, le zoo du parc de la Tête d’Or a été considéré comme un incontournable du patrimoine lyonnais, un lieu où les familles viennent observer lions, girafes et singes au cœur de la ville. Mais à en croire une étude inédite réalisée par l’IFOP pour l'association de défense des animaux Paz, cette image est en train de vaciller. 56 % des habitants de Lyon se disent favorables à sa fermeture, estimant que les animaux y vivent dans des conditions inadaptées.

fermeture-zoo-parc-tete-or-lyon-paz

Les résultats sont sans appel : 54 % des Lyonnais pensent que les animaux du zoo ne sont pas heureux. Un sentiment encore plus marqué chez les jeunes générations, avec 70 % des 18-24 ans et 66 % des 25-34 ans qui prônent une fermeture et un transfert des animaux vers des sanctuaires plus spacieux. Chez les électeurs de Grégory Doucet, 78 % soutiennent cette idée, preuve que la question animale devient un sujet politique majeur.

Le zoo du parc de la Tête d'Or est-il vraiment en sursis ?

L’attachement au zoo semble également s’effriter chez ceux qui le fréquentent. Parmi les visiteurs de l’année écoulée, 50 % estiment que les animaux ne s’y épanouissent pas et 53 % soutiennent la fermeture. Autre donnée intéressante : la parentalité n’influence pas significativement l’opinion, avec 53 % des parents d’enfants de moins de 15 ans favorables à une fermeture, contre 57 % chez les autres.

fermeture-zoo-parc-tete-or-lyon-paz

La question pourrait bien peser dans les urnes en 2026. 58 % des sondés affirment que la condition animale influencera leur vote aux prochaines municipales, un chiffre qui grimpe à 71 % chez les électeurs de Grégory Doucet. La pression est donc plus forte que jamais pour la mairie de Lyon, qui ne pourra plus ignorer cette évolution des mentalités.


L'étude complète


À LIRE AUSSI