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Listeria : Leclerc et Monoprix rappellent des sachets de salade potentiellement contaminés

Publié le 21 juillet 2022 à 15h55

Modifié le 22 juillet 2022 à 09h15

par Pauline Pinoy

De la salade feuille de chêne vendue dans toute la France chez Leclerc et Monoprix, fait l’objet d’un rappel en raison d’un risque de listeria. Il est recommandé de ne pas manger ces produits et de les rapporter directement aux magasins concernés.

En cette période d’été, la salade est l’un des aliments incontournables des repas. Fraîche et croquante, c’est la base parfaite pour une salade composée. Cette fois, si vous en avez récemment acheté dans un Leclerc ou un Monoprix, on vous déconseille de la manger. Elle pourrait être contaminée par la présence de Listeria Monocytogenes. Pour rappel, cette bactérie est responsable de la listériose. Bien que rare, vous pouvez tout de même contracter des symptômes comme de la fièvre, des courbatures, des maux de tête, pouvant aller jusqu'à provoquer des complications chez les personnes fragiles. 

Plusieurs lots rappelés 

Le site Rappel Conso - le site gouvernemental des alertes de produits dangereux - a publié sur Twitter, les deux paquets de salade rappelés. Chez Monoprix, il s'agit des sachets de 125g de la marque Monoprix, commercialisés entre le 6 et le 13 juillet dans tous les magasins de la chaîne.

Du côté de Leclerc, ce sont les sachets de 125g Notre Jardin, de la Marque Repère, vendus entre le 5 et le 13 juillet dernier qu’il faut ramener. Pour toutes les salades rappelées, la date limite de consommation était fixée au 13 juillet. Concernant les deux lots, vous pouvez directement rapporter les produits en magasin pour être remboursés.

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La majorité des Lyonnais favorable à la fermeture du zoo du parc de la Tête d'Or selon une étude

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par Antoine Lebrun

Pierre Jean Durieu / Shutterstock.com

Selon une étude inédite de l’IFOP commandée par l’association PAZ, une majorité de Lyonnais-es se dit favorable à sa fermeture et au placement des animaux dans des sanctuaires. Un débat qui pourrait peser dans les prochaines élections municipales.

Pendant longtemps, le zoo du parc de la Tête d’Or a été considéré comme un incontournable du patrimoine lyonnais, un lieu où les familles viennent observer lions, girafes et singes au cœur de la ville. Mais à en croire une étude inédite réalisée par l’IFOP pour l'association de défense des animaux Paz, cette image est en train de vaciller. 56 % des habitants de Lyon se disent favorables à sa fermeture, estimant que les animaux y vivent dans des conditions inadaptées.

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Les résultats sont sans appel : 54 % des Lyonnais pensent que les animaux du zoo ne sont pas heureux. Un sentiment encore plus marqué chez les jeunes générations, avec 70 % des 18-24 ans et 66 % des 25-34 ans qui prônent une fermeture et un transfert des animaux vers des sanctuaires plus spacieux. Chez les électeurs de Grégory Doucet, 78 % soutiennent cette idée, preuve que la question animale devient un sujet politique majeur.

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L’attachement au zoo semble également s’effriter chez ceux qui le fréquentent. Parmi les visiteurs de l’année écoulée, 50 % estiment que les animaux ne s’y épanouissent pas et 53 % soutiennent la fermeture. Autre donnée intéressante : la parentalité n’influence pas significativement l’opinion, avec 53 % des parents d’enfants de moins de 15 ans favorables à une fermeture, contre 57 % chez les autres.

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La question pourrait bien peser dans les urnes en 2026. 58 % des sondés affirment que la condition animale influencera leur vote aux prochaines municipales, un chiffre qui grimpe à 71 % chez les électeurs de Grégory Doucet. La pression est donc plus forte que jamais pour la mairie de Lyon, qui ne pourra plus ignorer cette évolution des mentalités.


L'étude complète


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