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Lyon dégringole au classement des meilleures villes étudiantes de France

Publié le 21 septembre 2023 à 10h00

Modifié le 21 septembre 2023 à 10h02

par Antoine Lebrun

C'est la dégringolade pour Lyon ! Qu'il semble loin le temps où Lyon trustait les premières places du prestigieux classement des meilleures villes étudiantes de France (entre 2017 et 2019). Classée 5e l'an dernier par le magazine L'Étudiant, la capitale des Gaules a chuté à la 11e place dans le dernier classement réalisé par le le média spécialisé.

En tête, on retrouve Montpellier avec une note impressionnante de 93 sur 121, suivie de près par Strasbourg (92/121) et Rennes (91/121). Toulouse, Caen, Nancy, Orléans, Angers, Clermont-Ferrand et Grenoble complètent le Top 10. Lyon, avec une note finale de 80/121, partage la 11e place avec des villes telles que Besançon, Dijon, Nantes et Poitiers. En tout, 16 facteurs ont été pris en compte comme le logement, le transport, l'emploi, l'attractivité de la formation, la qualité de vie, l'offre culturelle, la qualité de l'air, et bien d'autres encore.

La qualité de l'air et l'offre de logement à la peine

Malgré cette baisse dans le classement, Lyon conserve toutefois son charme  auprès des étudiants. La ville obtient un taux de recommandation exceptionnel de 96 %, se hissant ainsi au 5e rang des villes les plus appréciées par les étudiants. Dans le détail, Lyon reçoit des notes honorables, notamment 17/20 pour son attractivité, 15/20 pour la qualité de sa formation, et 20/30 pour la vie étudiante dynamique tandis que l'emploi reçoit une note solide de 9/10.

Cependant, certains points faibles ont été identifiés dans le classement. La densité de l'offre de formation (5/10), la qualité de l'air (2/10), le cadre de vie (19/41) et l'offre de logement (4/10) sont autant de domaines où Lyon doit clairement s'améliorer. 


Le classement complet

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Le studio Universal va ouvrir son premier parc d’attractions en Europe en 2031

Publié aujourd'hui à 07h05

Modifié aujourd'hui à 07h09

par Flora Gendrault

La ville de Bedford, située à 80 kilomètres au nord de Londres, va accueillir « l’un des plus grands parcs de divertissement d’Europe », comme l’a annoncé ce mercredi 9 avril au matin le Premier ministre britannique Keir Starmer. L’investissement, « de plusieurs milliards de livres », devrait créer « quelques 28 000 emplois dans les secteurs de la construction, l’intelligence artificielle et le tourisme », espère Downing Street.


Un sixième parc Universal dans le monde

Ce parc sera le sixième du genre dans le monde et le tout premier sur le sol européen, Universal étant déjà présent à Los Angeles, Orlando, Pékin, Osaka et Singapour. « Nous sommes plus qu’enthousiastes à l’idée de franchir cette étape très importante dans notre plan visant à créer un incroyable parc à thème au cœur du Royaume-Uni, qui complète notre activité croissante de parcs aux États-Unis, en étendant notre territoire à l’Europe », réagit Mike Cavanagh, président de Comcast Corporation, maison-mère d’Universal Studios, dans le communiqué. Les négociations entre Londres et Comcast duraient depuis plusieurs décennies.

Si le montant de l’accord n’a pas été révélé, le gouvernement britannique estime que le projet pourrait générer jusqu’à 50 milliards de livres (soit environ 58 milliards d’euros) pour l’économie d’ici 2055, avec plus de 8,5 millions de visiteur·ses attendu·es dès la première année d’exploitation.


Des attractions inspirées des plus grandes sagas

Le parc, qui s’étendra sur plus de 200 hectares, promet une immersion totale dans l’univers des plus grandes franchises du studio hollywoodien : les Minions, Jurassic World, Fast & Furious ou encore Harry Potter. Desservi par les transports en commun, le site sera accessible en un peu plus d’une heure de train depuis la gare de Saint-Pancras, à Londres – qui permet aussi des liaisons Eurostar avec Paris, Bruxelles ou Amsterdam.

Au programme : manèges spectaculaires, expériences immersives, spectacles et un hôtel de 500 chambres. Si la liste définitive des attractions reste confidentielle, la presse britannique évoquait déjà en 2023 la possible présence de l’ours Paddington, véritable icône au Royaume-Uni. Promis, on reste sur le coup, et on vous dira tout. 


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