Pépite : un nouveau MBA digital dispensé en présentiel ou à distance et en alternance

Le MBA Spécialisé Digital s'est installé dans les locaux de l'EFAP (grande dame de 60 ans reconnue dans le milieu de la communication). Fondé et dirigé par Vincent Montet, Vice-Président de l’Association de l’Économie Numérique ACSEL, il enseigne à tous (étudiants, professionnels en reconversion) les compétences essentielles pour travailler dans les métiers du marketing et de la transformation digitale et comment accroître son employabilité dans le secteur du digital. Grande nouveauté de cette formation ? Elle sera proposée en part-time à Bordeaux, Lille, Lyon, Paris ou totalement à distance. 

La formation marketing digital se déroule sur 12 mois avec 3 à 4 jours de cours en présentiel par mois (ou par visioconférence pour le programme 100% à distance) et 2 heures de cours le soir en distanciel les semaines off. Elle débute et se termine par une semaine full time dédiée à une compétition. 

La première formation en marketing digital en part-time 

Avec des intervenants de terrain, le programme de cette 5ème année de l'EFAP a été conçu en partenariat avec le Hub Institute, et le prestige de son réseau lui a valu la place de 2ème meilleur master ou MBA spécialisé de France. Son ambition ? Former les futurs managers du marketing et de la transformation digitale en lien étroit avec le réseau et l'écosystème professionnel de chacune de ses implantations

Un programme unique en France récompensé pour sa qualité

L’équipe pédagogique du MBA vous propose de les rencontrer au cours d’une réunion d’information en le vendredi 13 mai à 12h30 

L'occasion pour les intéressé.es d'en apprendre davantage sur les enjeux actuels du secteur, les compétences nécessaires pour y trouver un emploi ainsi que le programme du MBA, les conditions d'admission et les métiers préparés. Ouvert à tous, et sur inscription, ce webinar vous permettra de comprendre comment les compétences en marketing et communication digitale permettent de faire la différence dans un milieu de plus en plus prisé.

Participer au webinar du vendredi 13 mai à 12h30

Pendant longtemps, le zoo du parc de la Tête d’Or a été considéré comme un incontournable du patrimoine lyonnais, un lieu où les familles viennent observer lions, girafes et singes au cœur de la ville. Mais à en croire une étude inédite réalisée par l’IFOP pour l'association de défense des animaux Paz, cette image est en train de vaciller. 56 % des habitants de Lyon se disent favorables à sa fermeture, estimant que les animaux y vivent dans des conditions inadaptées.

Les résultats sont sans appel : 54 % des Lyonnais pensent que les animaux du zoo ne sont pas heureux. Un sentiment encore plus marqué chez les jeunes générations, avec 70 % des 18-24 ans et 66 % des 25-34 ans qui prônent une fermeture et un transfert des animaux vers des sanctuaires plus spacieux. Chez les électeurs de Grégory Doucet, 78 % soutiennent cette idée, preuve que la question animale devient un sujet politique majeur.

Le zoo du parc de la Tête d'Or est-il vraiment en sursis ?

L’attachement au zoo semble également s’effriter chez ceux qui le fréquentent. Parmi les visiteurs de l’année écoulée, 50 % estiment que les animaux ne s’y épanouissent pas et 53 % soutiennent la fermeture. Autre donnée intéressante : la parentalité n’influence pas significativement l’opinion, avec 53 % des parents d’enfants de moins de 15 ans favorables à une fermeture, contre 57 % chez les autres.

La question pourrait bien peser dans les urnes en 2026. 58 % des sondés affirment que la condition animale influencera leur vote aux prochaines municipales, un chiffre qui grimpe à 71 % chez les électeurs de Grégory Doucet. La pression est donc plus forte que jamais pour la mairie de Lyon, qui ne pourra plus ignorer cette évolution des mentalités.

L'étude complète