1i7vg97el7

Si vous vous sentez l'âme d'un poète, ce concours va vous plaire

Publié le 21 mars 2019 à 15h56

Modifié le 25 mars 2019 à 18h49

par La Rédac'

Vous écrivez des petites pensées sur des bouts de papier ? Sans cesse dans les nuages, vous avez souvent l'impression d'être déconnecté de la réalité ? Vous êtes sensible et avez une vision du monde un peu décalée ? Bingo. Vous avez sûrement l'âme d'un poète. Et on a trouvé le concours parfait pour vous lancer !


Depuis plus de 20 ans, la RATP organise des grands concours de poésie et offre à ses voyageurs des poèmes d'auteurs amateurs. L'édition de cette année, présidée par la comédienne et romancière Isabelle Carré, invite tous les Français, quel que soit leur âge, à participer à ce concours d'écriture. « Ce dont les hommes ont besoin, écrit Murakami, c’est de quelque chose de beau, d’agréable, qui leur fait croire, au moins partiellement, que leur existence a un sens. »

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par @adelinedenogent le

Courts (4 lignes maximum) ou longs (14 lignes maximum), en vers ou en prose, vous aurez une totale liberté sur le thème abordé. Ça vous donne envie ? Alors, foncez !

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Pierre Audiger (@pierre_audiger) le

Les 10 poètes amateurs qui se verront remettre le Grand Prix auront l'opportunité d'être affichés tout l'été, sur l'ensemble du réseau RATP. « La RATP a à cœur d’offrir à ses 12 millions de voyageurs quotidiens en Île-de-France un espace de respiration, d’évasion et de réflexion. Ainsi notre politique culturelle n’a cessé de se développer depuis plus de 20 ans et elle est aujourd’hui largement plébiscitée. Plus encore, pour 53 % de nos voyageurs, la RATP représente aujourd’hui le principal moyen d’accès à la poésie », nous a confié Anaïs Lançon, directrice de la communication de la RATP 

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par YeTeOh (@yeteoh) le

Et n'oubliez pas les bonbons, comme disait Shakespeare, "La poésie est cette musique que tout homme porte en soi.".

Grand Prix de la poésie
Du 13 mars au 14 avril 2019

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
cours-charlemage-lyon-rambla

Cette célèbre artère de Lyon va devenir une rambla piétonne et végétale comme à Barcelone

Publié aujourd'hui à 19h00

par Antoine Lebrun

Avis aux amoureux de balades urbaines et d’apéros au grand air : Lyon s’apprête à offrir un petit bout de Barcelone aux habitants du 2e arrondissement. Le cours Charlemagne, véritable colonne vertébrale de Confluence, va troquer ses voitures contre des piétons, des arbres et des bancs pour chiller en toute tranquillité. Oui oui, vous avez bien lu : dès cet été, les travaux vont débuter pour métamorphoser 6000 m² entre le quai Antoine-Riboud et la rue Paul-Montrochet en une « rambla » à la lyonnaise.

L’idée ? Apaiser un secteur devenu un vrai carrefour piéton depuis l’arrivée du tram T2, et bientôt du Tram express de l’Ouest lyonnais. Mais pas question de faire ça à moitié : la Métropole de Lyon sort l’artillerie lourde pour réinventer l’espace. Côté centre commercial et darse : une belle promenade piétonne de 10 mètres de large, avec ombrières pour l’ombre, tables de pique-nique pour les pauses et mobilier de détente pour lézarder façon slow life urbaine.

Une concertation publique ouverte jusqu'au 4 mai

Au centre, les voies de tramway seront sublimées par un grand parvis piéton arboré devant le centre commercial — fini les rampes et trottoirs mal fichus, ici on marche comme à Barcelone, les tapas en moins (pour l’instant). Côté Hôtel de Région, les cyclistes auront leur autoroute verte : une voie bidirectionnelle de 4 mètres de large bordée d’arbres et de bancs, jusqu’à la place François-Mitterrand.

cours-charlemage-lyon-rambla
© Bigbang Paysage Urba

Les riverains, eux, ont déjà commencé à donner leur avis sur le mobilier urbain : tables, méridiennes et bancs deux places tiennent la corde. La concertation publique est ouverte jusqu’au 4 mai — de quoi donner des idées aux derniers sceptiques (ou aux fans de siestes urbaines). Une chose est sûre : le cours Charlemagne version 2030 s’annonce bien plus chill qu’un bouchon à l’heure de pointe.


Source : Le Progrès


À LIRE AUSSI