La voix est-elle la nouvelle arme de séduction ?

Sensuelle, rauque, suave… La multiplication du réflexe des vocaux a eu un effet considérable sur nos manières de communiquer — et donc de séduire. Désormais la séduction passe par la voix. Adieu l’idée de séduire grâce à vos muscles généreux ou à votre style indéniable. Ce qui plait - après deux ans de crise sanitaire - c’est le réel, le contact, ce qui se cache au plus profond de chacun. Et quoi de mieux que sa voix pour révéler sa personnalité ? Vecteur d’émotions et de surprises, elle nous permet d’en apprendre beaucoup sur quelqu’un et a le pouvoir de nous faire vibrer. Attrait crucial pour 85% des célibataires, la voix dégage de la sincérité qui ne peut être retranscrit à l’écrit.

Et si on en profitait ? Après des années de dating sur des applis, des matchs et des rencontres qui se font toujours de la même manière avec le classique photos-bio-qualités-critères, difficile de tirer son épingle du jeu parmi des profils tous plus ou moins similaires et des bio rapidement ennuyantes. Déception encore plus grande lorsqu'au moment de découvrir la voix de l'autre lors d'un premier date, celle-ci ne correspond pas à notre imagination. Et là, c'est perdu d'avance. La voix est bien trop importante pour ne plus être prise en compte. 

Tomber sous le charme grâce à la voix

Si vous ne croyez toujours pas que la voix est un critère essentiel, une étude a révélé que 70% des célibataires pourraient tomber sous le charme d’une personne rien qu’en écoutant sa voix. Imaginez-vous découvrir sur le profil de la personne qui vous semble idéale, la première intonation de sa voix. Un frisson parcourt l’ensemble de votre corps et un petit sourire se glisse rapidement sur votre visage à l’entente d’un accent, d’une histoire sincère, d'une hésitation, d'un sourire dans la voix. Et hop, coup de foudre.

Désormais pour mettre toutes les chances de son côté, chaque célibataire peut enregistrer sur son profil Meetic un message audio. Le but ? Se dévoiler. C’est la bonne occasion pour sortir du lot autant par le son de sa voix que par ses propos qui, originaux, peuvent faire battre le coeur de sa prochaine moitié. Racontez donc votre week-end idéal, la réplique de votre film préféré ou encore la chose la plus surprenante que vous ferez par amour, dans tous les cas, c’est du bonus. Bien plus qu’un simple outil, la proposition de la nouvelle fonctionnalité de Meetic est une révolution dans la façon de faire des rencontres, un retour aux sens, à la sincérité, aux faiblesses, à l'honnêteté et au véritable amour. 30 millions d’audio ont déjà été écoutés, alors pourquoi pas le vôtre ? Pour en savoir plus, rendez-vous sur Meetic.

Pendant longtemps, le zoo du parc de la Tête d’Or a été considéré comme un incontournable du patrimoine lyonnais, un lieu où les familles viennent observer lions, girafes et singes au cœur de la ville. Mais à en croire une étude inédite réalisée par l’IFOP pour l'association de défense des animaux Paz, cette image est en train de vaciller. 56 % des habitants de Lyon se disent favorables à sa fermeture, estimant que les animaux y vivent dans des conditions inadaptées.

Les résultats sont sans appel : 54 % des Lyonnais pensent que les animaux du zoo ne sont pas heureux. Un sentiment encore plus marqué chez les jeunes générations, avec 70 % des 18-24 ans et 66 % des 25-34 ans qui prônent une fermeture et un transfert des animaux vers des sanctuaires plus spacieux. Chez les électeurs de Grégory Doucet, 78 % soutiennent cette idée, preuve que la question animale devient un sujet politique majeur.

Le zoo du parc de la Tête d'Or est-il vraiment en sursis ?

L’attachement au zoo semble également s’effriter chez ceux qui le fréquentent. Parmi les visiteurs de l’année écoulée, 50 % estiment que les animaux ne s’y épanouissent pas et 53 % soutiennent la fermeture. Autre donnée intéressante : la parentalité n’influence pas significativement l’opinion, avec 53 % des parents d’enfants de moins de 15 ans favorables à une fermeture, contre 57 % chez les autres.

La question pourrait bien peser dans les urnes en 2026. 58 % des sondés affirment que la condition animale influencera leur vote aux prochaines municipales, un chiffre qui grimpe à 71 % chez les électeurs de Grégory Doucet. La pression est donc plus forte que jamais pour la mairie de Lyon, qui ne pourra plus ignorer cette évolution des mentalités.

L'étude complète