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Alerte job (de rêve) : envoie des photos de tes pieds pour gagner de l'argent

Publié le 13 février 2019 à 15h07

Modifié le 17 mai 2022 à 11h06

par La Rédac'


Pas besoin du darknet, non, les réseaux sociaux et autres sites spécialisés suffisent très bien pour vendre des photos de vos pattes. Il s’avère même que c’est un marché très lucratif. Cette pratique est plus répandue à l’étranger, mais commence à arriver tranquillement dans l’Hexagone. Dérivée du Money slavering, c’est-à-dire être dominé financièrement pas des money miss, une personne qui cherche à être insultée, salie et ruinée par son "maître" ou sa "maîtresse", ce business est un mélange entre le Financial Domination et le fétichisme où les clients achètent des photos de pieds.

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Lui servir de paillasson... #model974#reunion#trampling#fetichiste#feetfemdom#974slave#reunionisland

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La relation client

Il y a deux types de vendeurs, le plus souvent féminins. D’un côté, des jeunes filles ou étudiantes qui veulent gagner de l’argent facilement, business is business. D’un autre côté, il y a les money miss, dont les noms sont codés et ayant comme préfixes "maîtresse" ou "déesse" ; ces personnes usent de la domination sur leurs soumis, ces derniers leur donnant tous l’argent qu’elles veulent.

Plusieurs plateformes d’échange ont émergé telles que FetLife ou VendsTaCulotte où l’ont peut vendre ou acheter des photos fétichistes. Instagram (évidemment) recense près de 19 000 publications avec le hashtag #fetichiste. Selon Cosmopolitan, certaines maîtresses peuvent gagner plus de 4 600 livres sterling par mois, soit environ 5 200€.


Il est très difficile de pénétrer ce réseau car les adeptes du fétichisme n’ont pas envie qu’il y ait plus de visibilité de l’extérieur (ça, on comprend). On apprend tout de même qu’il existe des « voleurs de soumis » qui « dépouillent des soumis naïfs ». C’est pourquoi Fakes Catcher, un compte twitter se donnant pour mission de vérifier les identités des participants, a été créé. Voici ses mots : « Je sers juste à faire du ménage dans cette communauté entre les bonnes dominatrices et les mauvaises... idem pour les soumis. Pour éviter les mauvaises rencontres ou les abus ».

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E.X.E.C.U.T.I.O.N les CHIENNE ! ???? #chienne #chiennesoumise #fetichiste #pieds

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En bref, si il vous manque des sous, que vous êtes prêt a imaginer un inconnu faire des trucs un peu coquins en regardant la photo de vos petons, ou si vous trouvez ça excitant d'une manière ou d'une autre, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Tous à vos Smartphones.

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par Antoine Lebrun

Du nouveau du côté du pôle de commerces et de loisirs de Confluence dans le 2e arrondissement de Lyon !  Parmi les arrivées attendues, la célèbre marque de chaussures André ouvre un magasin flambant neuf de 133 m², avec une sélection d’accessoires haut de gamme pour parfaire chaque look. Du côté du prêt-à-porter, Bershka va bientôt s’installer au 1er étage du centre, promettant aux fans de mode des collections toujours plus tendances. Et ce n’est pas tout : la boutique Zara du rez-de-chaussée est en plein agrandissement et doublera sa surface sur deux niveaux. Pour patienter, un pop-up store temporaire est installé au 1er étage.

Du shopping, du loisir et de la gourmandise au programme

Les amateurs de sneakers et de tenues sportswear ne seront pas en reste puisque JD Sports inaugurera son tout nouvel espace de 250 m² au niveau 0 début avril. De quoi renouveler sa garde-robe avec les dernières tendances streetwear. Le dernier étage, quant à lui, mise sur l’immersion avec l’arrivée d’une nouvelle exposition chez Eclipso Lyon. Intitulée Avec les Derniers Remparts – Carcassonne 1304, cette expérience promet une plongée captivante dans le Moyen-Âge.

Enfin, les amateurs de cuisine asiatique seront ravis d’apprendre que Woko fait son grand retour à Confluence. L’enseigne reprend exactement sa place d’origine, remplaçant Beau & Bùn. Son come-back s’accompagne d’un repositionnement de marque, avec une baisse des prix et une offre recentrée sur l’Asian Street-Food.

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