Le web a près de 30 ans : nos meilleurs (mais surtout nos pires) souvenirs

Incroyable mais vrai : le web a pratiquement la trentaine. Mais pour la plupart d’entre nous, ça ne fait en réalité qu'une vingtaine d'années que l'on peut vraiment surfer sur le net, mais c'est déjà assez pour nous filer un petit (gros) coup de vieux. Un brin nostalgique, on a fait le tour de la rédac' du Bonbon pour dénicher nos plus vieux souvenirs du web. Cool, or not. 

Les Wizz

C’est un souvenir indécrottable de notre jeunesse passée sur MSN Messenger quand notre cher correspondant (et dieu seul sait qui était cette personne) ne répondait pas. « N’abusez pas des wizz ! N’abusez pas des wizz ! ». Qu’est-ce-qu’on en abusait !

HABBO

Vous vous souvenez ce temps où vous n'étiez pas majeur et vacciné ? Quand vous étiez obligé de ramener votre cul à la maison juste après l'école ? Habbo était alors votre refuge. Non, vous ne pouviez pas aller picoler avec vos potes dans le bar du coin, du coup, vos avatars le faisaient pour vous.

Rotten

Forcément avec l'arrivée d'Internet débarque une panoplie d'images plus chocs les unes que les autres et hyper accessibles. Violence, suicide, malformations... et 2 girls 1 cup, remember ? Une variante : Evilox. 

La drague en ligne : Wanadoo/voilà/orange/Caramail/AIM/MSN 

Au programme : toutes sortes d'énergumènes dont les premiers mots envers vous sont toujours ASV. Résultat : des conversations souvent WTF, et parfois des amitiés inespérées (mais souvent sans débouchés). 

Les Skyblogs

Avouez, vous en avez gardé les URLs et retournez dessus par nostalgie de temps à autres. Véritable puits à dossiers, c'est aussi surtout cool pour vous moquer de vos anciens petits camarades. 

MySpace

Ah la petite tête Tom de Myspace nous manque elle aussi. 

NAPSTER 

Pour télécharger illégalement tous les morceaux de notre MP3.

Se connecter à AOL, Liberty surf, Wanadoo ou Club Internet 

Nous étions condamnés aux connexions 56K via les fameuses fenêtres Dial Up. Les forfaits de l’époque limités à 20h suffiraient à peine à tenir 2 jours aujourd’hui. 

Le Modem 56 K

Cette douce mélodie vous manque, avouez-le.

Lycos, Yahoo!, Altavista 

Difficile à croire mais en 1999 Google n’est qu’en version Bêta et nous étions obligés de faire toutes nos recherches grâce à ces moteurs. Allez va chercher Lycos !

Megaupload

Accusé de violer les lois du copyright, cela fait déjà 6 ans que ce service d'hébergement de fichiers au combien utile nous a quittés. 

Chatroulette

Ce moment où l'on a découvert que l'on pouvait communiquer par vidéos avec le monde entier. Et tomber 1 fois sur 3 sur le pénis de quelqu'un. 

Les sites pornos 

Ah, la découverte de la sexualité par les images de cul circulant sur Internet. Toute une génération ! 

Virtuagirl 

Vous ne connaissez pas Virtuagirl ? Moi non plus. Pour toutes réclamations, envoyez un mail à louis@lebonbon.fr. 

Chaque année, la compétition est rude pour figurer parmi les meilleurs lycées de France. Avec un taux de réussite au bac flirtant avec les sommets – 96,1 % en filière générale et 90,3 % en technologique – il devient difficile de départager les établissements sur ce seul critère. C’est pourquoi d’autres éléments sont pris en compte : la capacité d’un lycée à faire progresser ses élèves, le taux de mentions et l’accompagnement des lycéens de la seconde jusqu’à la terminale.

Les lycées lyonnais sont les meilleurs du Rhône

En s’appuyant sur les chiffres du ministère de l’Éducation nationale, Le Parisien a dévoilé son classement des meilleurs lycées en 2025. Cette année encore, les établissements lyonnais s’illustrent en occupant le top 3 du département du Rhône. En tête, le Lycée général de la Cité scolaire internationale (Lyon 7e, secteur public) décroche la première place avec une note générale de 15,54. Il est suivi de près par le Lycée général privé Deborde (Lyon 6e, secteur privé) qui obtient 15,26, et le Lycée général du Parc (Lyon 6e, secteur public) avec une note de 14,69.

Le Lycée général Cité scolaire internationale à Lyon 7e © Jourda Architectes

Dans le reste du top 10 départemental, plusieurs établissements se démarquent, à commencer par le Lycée général et technologique privé Champagnat à Saint-Symphorien-sur-Coise (14,62), suivi du Lycée Saint Thomas d'Aquin Véritas à Oullins-Pierre-Bénite (14,48) et du Lycée Assomption Bellevue à La Mulatière (14,47). Le Lycée privé Al Kindi à Décines-Charpieu (14,42), l’Externat de La Trinité à Lyon 6e (14,38), le Lycée Sainte Marie à Lyon 5e (14,33) et le Lycée polyvalent Louis Armand de Villefranche-sur-Saône (14,19) ferment la marche du top 10 rhodanien.

Un classement dominé par les établissements parisiens

Mais qu’en est-il du classement national ? Le premier établissement lyonnais, la Cité scolaire internationale, décroche une honorable 26e place. En haut du podium français, le Lycée polyvalent International de l’Est Parisien (Noisy-le-Grand, secteur public) rafle la mise avec une note impressionnante de 16,59. Il est suivi du Lycée général Condorcet (Paris 9e, 16,32) et du prestigieux Lycée Henri IV (Paris 5e, 16,31). Fait notable : les 10 premiers lycées du classement national sont tous publics, preuve que ces établissements d’excellence rivalisent avec les grandes institutions privées.

Pour établir ce palmarès des meilleurs lycées, Le Parisien a mis en place une méthodologie rigoureuse, attribuant à chaque établissement une note sur 20 en fonction de plusieurs critères clés. L’excellence des résultats est au cœur de l'évaluation : les équipes ont analysé le taux de réussite au bac, le pourcentage de mentions et les indicateurs de valeur ajoutée, qui mesurent la capacité d’un lycée à faire progresser ses élèves, indépendamment de leur niveau d’entrée.

Mais un bon lycée ne se résume pas à ses chiffres. Le Parisien a également tenu compte, dans une moindre mesure, de la diversité sociale des élèves, valorisant les établissements qui jouent la carte de la mixité, ainsi que du nombre de spécialités proposées, pour offrir un large choix aux lycéens.

Le classement complet