98bt6vjd6a

Ikigai : la méthode japonaise pour prendre les bonnes décisions dans sa vie

Publié le 22 janvier 2019 à 12h49

Modifié le 22 janvier 2019 à 15h20

par La Rédac'

On a tous connu ce sentiment désagréable de ne pas savoir quoi faire de sa vie, quelles études suivre ou quel métier faire. Tu te sens alors perdu et démotivé, et tu optes pour un métier sans prise de tête. Mais es-tu vraiment heureux et épanoui dans ta vie ? Si ce n’est pas le cas, il est grand temps de découvrir l’Ikigai, ce nouveau concept japonais.


Tant de fois, nous aurions aimé avoir une boule de cristal pour lire l’avenir et savoir quel chemin suivre ou quelle décision prendre. Malheureusement, beaucoup ne trouvent jamais la réponse et finissent par "passer à côté de quelque chose". C’est sans compter la nouvelle tendance de 2019 : l’Ikigai (littéralement "raison de vivre").

L’Ikigai t’aide à identifier ce qui te rend vraiment heureux, pour trouver cette fameuse mission de vie dont on te rebat les oreilles et ce pour quoi tu es venu au monde. Oui, tout ça !

Adapté au domaine professionnel, cette méthode japonaise est l’outil idéal pour trouver le job de tes rêves. Et la bonne nouvelle, c’est que tout le monde a un Ikigai ! Ça demande juste un peu de recherche et d’introspection. Il te suffit de répondre à 4 questions :




1. Qu’aimes-tu dans la vie ?


Je te vois déjà écrire "siroter des cocktails sur une plage". Oui, ce serait agréable au début, certes, mais ce n’est pas forcément le sens de ta vie. Réfléchis plutôt aux activités que tu aimes faire, celles qui te rendent heureux. Vraiment heureux.


2. Quel est ton talent ?


Tout le monde a des facilités ou des spécialités, même toi ! Souviens-toi ce sur quoi les autres te complimentent le plus souvent ?


3. Qu’est-ce qui te permet de gagner de l’argent ?


Quel service peux-tu proposer ? Quelles sont les choses que tu sais faire et pour lesquelles tu peux prétendre à une rémunération ?


4. Quelle cause veux-tu défendre ?


Quel impact souhaites-tu avoir dans la vie de tes proches, et à plus grande échelle, pour le monde ? Quelle trace de ton passage veux-tu laisser sur Terre ?


L’Ikigai, c’est l’équilibre parfait entre tous ces éléments, car chacun d’entre eux contribue à ton bonheur. Réfléchis, laisse décanter et tu trouveras le job de tes rêves. Promis !

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
cours-charlemage-lyon-rambla

Cette célèbre artère de Lyon va devenir une rambla piétonne et végétale comme à Barcelone

Publié aujourd'hui à 19h00

par Antoine Lebrun

Avis aux amoureux de balades urbaines et d’apéros au grand air : Lyon s’apprête à offrir un petit bout de Barcelone aux habitants du 2e arrondissement. Le cours Charlemagne, véritable colonne vertébrale de Confluence, va troquer ses voitures contre des piétons, des arbres et des bancs pour chiller en toute tranquillité. Oui oui, vous avez bien lu : dès cet été, les travaux vont débuter pour métamorphoser 6000 m² entre le quai Antoine-Riboud et la rue Paul-Montrochet en une « rambla » à la lyonnaise.

L’idée ? Apaiser un secteur devenu un vrai carrefour piéton depuis l’arrivée du tram T2, et bientôt du Tram express de l’Ouest lyonnais. Mais pas question de faire ça à moitié : la Métropole de Lyon sort l’artillerie lourde pour réinventer l’espace. Côté centre commercial et darse : une belle promenade piétonne de 10 mètres de large, avec ombrières pour l’ombre, tables de pique-nique pour les pauses et mobilier de détente pour lézarder façon slow life urbaine.

Une concertation publique ouverte jusqu'au 4 mai

Au centre, les voies de tramway seront sublimées par un grand parvis piéton arboré devant le centre commercial — fini les rampes et trottoirs mal fichus, ici on marche comme à Barcelone, les tapas en moins (pour l’instant). Côté Hôtel de Région, les cyclistes auront leur autoroute verte : une voie bidirectionnelle de 4 mètres de large bordée d’arbres et de bancs, jusqu’à la place François-Mitterrand.

cours-charlemage-lyon-rambla
© Bigbang Paysage Urba

Les riverains, eux, ont déjà commencé à donner leur avis sur le mobilier urbain : tables, méridiennes et bancs deux places tiennent la corde. La concertation publique est ouverte jusqu’au 4 mai — de quoi donner des idées aux derniers sceptiques (ou aux fans de siestes urbaines). Une chose est sûre : le cours Charlemagne version 2030 s’annonce bien plus chill qu’un bouchon à l’heure de pointe.


Source : Le Progrès


À LIRE AUSSI