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Le kakeibo, cette méthode japonaise pour bien gérer son argent

Publié le 10 janvier 2020 à 16h49

Modifié le 10 janvier 2020 à 18h34

par Carla Thorel

Créée par la journaliste Hani Mokoto au début du XXe siècle, cette méthode nous aiderait à y voir nettement plus clair dans le foutoir auquel s’apparente nos finances.


À chacun sa bonne résolution pour 2020, la nôtre en tout cas, c’est de dépenser moins. Oui c’est plus facile à dire qu’à faire surtout en période de soldes arrosée par des publicités massives qui nous agressent à chaque coin de rue… « Mais c’est vrai qu’elle était pas mal cette doudoune à moins 70 %... » NON. STOP. Voilà que ça recommence.

En avons-nous vraiment besoin ? Est-ce un atout à notre épanouissement personnel ? Munissez-vous d’un crayon et d’un carnet, c’est le moment de tout régler.

La méthode centenaire du Kakeibo, tout droit importée du Japon, est à l’instar de Marie Kondo au rangement, la meilleure manière d’économiser nos sous intelligemment. À l’aide d’un stylo et d’un petit carnet, indiquez dans un coin en haut de la feuille votre situation financière (salaire fixe, charges…), et créez les colonnes Survie, Culture, Facultatif, et Imprévus. Au fur et à mesure que vous le remplirez, questionnez-vous sur la joie que vous procure chaque achat.

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Rien de révolutionnaire, d’accord, mais il s’agit bien là d’une manière de poser nos idées au clair, non pas pour nous culpabiliser mais pour nous aider à comprendre ce qui nous est bénéfique. « Avais-je besoin de m’acheter autant de chaussures ce mois-ci alors que ma colonne "facultatif" du mois dernier était déjà bien remplie ? », « Ai-je assez de place chez moi pour un nouvel accessoire encombrant ? », « N’aurais-je pas mieux fait d’utiliser cet argent pour un plein de courses ? »

Tant de réflexions intérieures qui nous pousseraient ainsi à espacer nos achats frénétiques, pour un porte-monnaie plus rembourré, et des chaussettes moins trouées.

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Un nouveau quartier XXL de plus de 5 hectares va voir le jour aux portes de Lyon

Publié hier à 19h00

par Antoine Lebrun

À Villeurbanne, les grues sont de sortie et les pelleteuses chauffent leurs moteurs pour un chantier qui va carrément redessiner un morceau de la métropole lyonnaise. Son nom ? La Filature. Un clin d’œil à l’histoire industrielle du site de l’ancienne usine ACI (Auto Châssis International), mais surtout un projet d’envergure qui va métamorphoser ce coin de Villeurbanne coincé entre le centre-ville et le campus de la Doua, comme l'explique Actu Lyon.

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© Dumetier

700 logements, locaux commerciaux, crèche et tramway

Ici, sur plus de 5 hectares, c’est carrément un bout de ville qui est en train de pousser. Une mini-métropole dans la métropole avec 700 logements dont plus d’un tiers de logements sociaux, des locaux d’activités économiques, une crèche municipale et une station flambant neuve du tramway T6. Bref, de quoi donner un sérieux coup de jeune au quartier et de connecter encore un peu plus Villeurbanne au cœur battant de Lyon.

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© Dumetier

Une première résidence livrée dès fin 2026

Et le timing est déjà lancé : la toute première pierre de la résidence sénior Aurea a été posée le 8 avril dernier, pour une livraison prévue fin 2026. Le reste des projets va s’échelonner jusqu’en 2028 avec des logements étudiants, des espaces verts, des commerces et même des logements en bail réel solidaire (parfait pour celles et ceux qui rêvent d’accéder à la propriété à prix doux).

Cerise sur le béton : dès le 1er trimestre 2026, le prolongement du T6 viendra desservir La Filature, connectant les Hôpitaux Est à La Doua en 20 petites minutes, avec des correspondances vers le métro A et les tramways T1, T3, T4 et T9. Autant dire qu’en 2028, Villeurbanne ne sera plus vraiment la même.


Source : Actu Lyon


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