Les barbus, ces infidèles !

Les barbus sont sexy mais auraient tendance à être aussi voleurs, menteurs et infidèles. Rien que ça ! C’est une étude qui le dit. Cet attribut du branché n’est pas seulement l’atout séduction que l’on croit.

Le réseau social de partage vidéo EVA via Censuswide a mené une étude sur les hommes à barbichette. Après tout ils ne pouvaient pas être que sexy ! Les chiffres sont tombés : 20% des rasés avouent avoir déjà trompé, alors que 47% des barbus confient être déjà passés à l’acte. 

 

It's a miracle we didn't eat all of these before we snapped this photo ? A huge thanks to @sourpatchkids for making this delicious beard happen!! ?

Une photo publiée par The Gay Beards (@thegaybeards) le 11 Févr. 2016 à 16h34 PST

Toujours selon la même étude, les mecs à pilosité seraient toujours plus partants pour se battre. Abus de virilité ? C’est en tout cas ce qu’affirment 45% d’entre eux. Pour enfoncer le clou, 40% des barbus révèlent avoir déjà volé dans leur vie. Bon en soit, qui ne l’a jamais fait. Mais, les rasés de près ne sont que 17% à avoir déjà dérobé un objet (du désir, ou pas).

 

Une photo publiée par The Gay Beards (@thegaybeards) le 26 Mars 2016 à 15h50 PDT

Du coup, ils ont demandé aux femmes si elles préféraient vraiment les hommes à barbe et là… c’est le drame ! Pas du tout messieurs, 65% des femmes préfèrent les hommes rasés et 35% vont même jusqu’à dire qu’elle préfèrent un homme à cheveux blancs plutôt qu’à grosse beubar. Soit dit en passant, ces petites dames doivent ignorer l’existence d’André Hamann !

 

Une photo publiée par The Gay Beards (@thegaybeards) le 15 Févr. 2016 à 15h17 PST

Pas de panique les petits loups, un homme à barbe, ça ferra toujours viril et ça continuera à plaire quand même.

© Texte : Soline Richard

Jean-Michel Aulas président… mais pas du foot cette fois. Le mythique ex-patron de l’Olympique Lyonnais n’a pas encore claqué sa déclaration officielle pour les municipales 2026, mais ça sent très fort le teasing de campagne. Et un nouveau sondage publié par BFM Lyon vient clairement de lui donner un petit supplément de confiance (et sûrement quelques coups de fil en coulisses).

Jean-Michel Aulas en tête si...

Selon l’étude Elabe, si la gauche et la droite partent en ordre dispersé, c’est simple : Aulas passerait devant tout le monde au premier tour avec 24% des voix, coiffant au poteau le maire écolo sortant Grégory Doucet (22%). De quoi faire suer vert les équipes municipales actuelles, déjà peu fans du personnage.

Dans les autres hypothèses (alliances à gauche ou à droite), JMA resterait quand même solidement accroché à sa place de dauphin, jamais très loin derrière Doucet. Et c’est justement là que ça devient intéressant : l’ancien président de l’OL s’impose peu à peu comme le seul capable de rassembler un centre droit éparpillé façon puzzle. Un leader "au-dessus des partis", comme aime le répéter son entourage, histoire de flatter son image de boss apaisé mais prêt à jouer des coudes.

Les jeunes au secours de Doucet quand les anciens plébiscitent Aulas

En mode fin stratège, Aulas reste flou sur ses intentions, lâchant seulement sur X (ex-Twitter pour les anciens) : « Progressivement, un cap et un chemin se dessinent ». Traduction : attendez un peu, ça va arriver au moment opportun (probablement après Pâques, si les bruits de vestiaire sont vrais).

Reste que le sondage montre un clivage générationnel net : les jeunes votent Doucet à fond (plus de 50% chez les 18-34 ans), quand les 50 ans et plus plébiscitent largement JMA. Une vraie opposition de style entre un maire écolo un brin clivant et un capitaine d’industrie qui veut jouer les rassembleurs pragmatiques.

Bref, à Lyon, la campagne n’a même pas commencé officiellement qu’elle sent déjà la poudre et les rebondissements. Et connaissant Aulas, on n’a pas fini d’assister à un joli match à l’ancienne.