Qu'est-ce qu'un homme/une femme idéal(e) ?

Il est fondamental d’avoir une bonne hygiène. Pour être en bonne santé, être présentable et ne pas empester. Et comme si l’inégalité homme-femme n’existait pas assez, elle existe également dans le domaine de la toilette. Eh ouais une femme idéale n'a pas du tout les mêmes critères qu'un homme idéal lorsqu'il s'agit de prendre soin de soi. Voici un aperçu de nos exigences ! 

Nous avons tous des conceptions différentes lorsqu’il s’agit d’hygiène. Mais on se rejoint tout de même sur certains aspects. C’est ce qui ressort d’un sondage sur les habitudes en matière d’hygiène mené auprès de 9 pays - la Suède, le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne, la Russie, la Chine, l'Australie, les Etats-Unis et le Mexique.

Notre vision de l’homme idéal 

L’homme idéal, selon 89% des sondés, a les cheveux courts. Avis à tous ceux qui aiment avoir une petite couette, elle est loin de faire l’unanimité. Quant à ceux qui ne se coupent pas les ongles (ou pire se les rongent), vous feriez mieux d’aller vous acheter un coupe-ongle d’ici peu. En effet, 86% estiment que l’homme idéal a les ongles coupés courts.

Mention spéciale pour tous les (nombreux) barbus, 82% des sondés pensent qu'un homme idéal est bien rasé. Comme quoi les hipsters ne semblent vraiment pas s'approcher de la perfection, c’est peut-être pour ça qu’il est si populaire tu me diras. En revanche, si tu n’as pas assez d’argent pour t’acheter de l’eau de Cologne, ce n’est pas si terrible. Car "seulement" 51 % estiment que l’homme idéal en porte.

Notre vision de la femme idéale

Malgré une certaine tendance aux femmes poilues (notamment sous les bras), on ne va pas se mentir, on est peu à vraiment les aimer ces poils. Ce qui fait d’une femme qu’elle est idéale, c’est le fait qu’elle se rase les jambes (selon 84% des sondés), puis en deuxième critère vient le fait qu’elle porte des bijoux et s'embaume de parfum (70%).

© Ben Hopper

Quant à la mode des cheveux courts, eh bien ce n'est justement peut-être qu'une mode. 69% pensent que la femme idéale a une longue crinière. Quant à celle qui ne porte pas de maquillage, les mentalités semblent évoluer, car 55% pensent qu’on approche la perfection lorsqu’on ne porte pas de maquillage.

© cover : leclubfoot.com

Avis aux amoureux de balades urbaines et d’apéros au grand air : Lyon s’apprête à offrir un petit bout de Barcelone aux habitants du 2e arrondissement. Le cours Charlemagne, véritable colonne vertébrale de Confluence, va troquer ses voitures contre des piétons, des arbres et des bancs pour chiller en toute tranquillité. Oui oui, vous avez bien lu : dès cet été, les travaux vont débuter pour métamorphoser 6000 m² entre le quai Antoine-Riboud et la rue Paul-Montrochet en une « rambla » à la lyonnaise.

L’idée ? Apaiser un secteur devenu un vrai carrefour piéton depuis l’arrivée du tram T2, et bientôt du Tram express de l’Ouest lyonnais. Mais pas question de faire ça à moitié : la Métropole de Lyon sort l’artillerie lourde pour réinventer l’espace. Côté centre commercial et darse : une belle promenade piétonne de 10 mètres de large, avec ombrières pour l’ombre, tables de pique-nique pour les pauses et mobilier de détente pour lézarder façon slow life urbaine.

Une concertation publique ouverte jusqu'au 4 mai

Au centre, les voies de tramway seront sublimées par un grand parvis piéton arboré devant le centre commercial — fini les rampes et trottoirs mal fichus, ici on marche comme à Barcelone, les tapas en moins (pour l’instant). Côté Hôtel de Région, les cyclistes auront leur autoroute verte : une voie bidirectionnelle de 4 mètres de large bordée d’arbres et de bancs, jusqu’à la place François-Mitterrand.

© Bigbang Paysage Urba

Les riverains, eux, ont déjà commencé à donner leur avis sur le mobilier urbain : tables, méridiennes et bancs deux places tiennent la corde. La concertation publique est ouverte jusqu’au 4 mai — de quoi donner des idées aux derniers sceptiques (ou aux fans de siestes urbaines). Une chose est sûre : le cours Charlemagne version 2030 s’annonce bien plus chill qu’un bouchon à l’heure de pointe.

Source : Le Progrès