Ah, le bonheur de la vie en coloc : son frigo partagé, ses soirées télés, ses fiestas endiablées… Si vivre à plusieurs peut avoir de très bons côtés, pour ce qui est de la vie intime, il est parfois plus difficile de cohabiter. Pour en savoir un peu plus sur le sujet, le site de colocations Appartager est allé demandé à ses utilisateurs ce qu'ils en pensaient. Voilà ce qu'on en a retiré.
Le coloc bruyant
L’aléa d’avoir des chambres avec mur commun : on entend tout ce qu’il se passe dans la pièce d’à côté. Autant c’est plutôt rigolo d’entendre son coloc baratiner sa nouvelle date Tinder, autant quand il passe à l’acte, on préférerait ne pas vivre à côté. Et pourtant, peu sont ceux qui osent intervenir, puisque 72% des sondés n’osent rien faire quand ils entendent leur coloc en plein ébat sexuel, tandis 21% renchérissent en faisant encore plus de bruit. Plus compliqué à faire quand tu es célib, on te l’accorde.
Mais que faire ? S’ils font tant de bruit que ça, c’est bien qu’ils veulent être remarqués, non ? On compte donc sur toi pour rameuter la coloc et leur faire une standing ovation : silence garanti pour les prochaines nuits.
Le coloc en couple
Quand c’est toi qui est en couple, pas de problèmes. Mais vivre en coloc avec un couple ? Non merci. Si plus de la moitié des sondés déclarent ne pas vouloir vivre avec un couple, 32% mettent en cause le bruit de leurs ébats, tandis que 19% jugent tout simplement l’image de leur bonheur…insoutenable.
Mais que faire ? Les solutions sont aussi machiavéliques que multiples : draguer l’un des deux, traîner nu(e) dans le salon, organiser une soirée célib avec tes potes… avec un peu de chance ils réaliseront rapidement que la recherche d’un petit nid douillet à deux s’impose.
Le coloc sexy
Eh oui, vivre au quotidien dans l’intimité de quelqu’un, ça crée des liens. Parfois un peu trop puisque 26% des sondés déclarent avoir déjà couché avec leur coloc, tandis que 25% ont déjà fantasmé sur ce dernier.
Mais que faire ? Ma foi, les fantasmes sont faits pour être réalisés non ? Et vois le positif : si c’était nul vous pourrez toujours en rire après, si c’était bien, tu pourras remettre ça quand tu veux (après tout, tu n’as qu’un couloir à traverser).
