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Boire un verre comme à La Maison, mais avec une touche de vintage en plus !

undefined undefined 16 février 2017 undefined 00h00

undefined undefined 28 février 2017 undefined 19h07

La Rédac'

Siroter un verre de vin, les pieds dans la baignoire, tu en rêvais ? A La Maison tout est possible…même si, comme moi, tu n'as pas la chance d'avoir une baignoire !

A quelques pas de la Cathédrale, La Maison Café offre un concept aussi insolite que génial ! Tu entres dans un bar sans savoir que tu vas, en réalité, te balader dans les différentes pièces d'une maison : le salon, la cuisine, la salle de bain et même le grenier où l'on peut se retrouver entre copains pour jouer au baby-foot ou regarder les matchs, une bière à la main. Il y a même une terrasse pour boire un verre au soleil !

Formica et baby foot, back to seventies

Tu trouves l'idée chouette ? Attends de voir la déco ! Chacune des pièces te plonge dans l'univers des années 1970. La cuisine orange vive et ses meubles Formica, le salon avec ses motifs géométriques et sa télévision vintage, et que dire de la salle de bain ? La baignoire va devenir ton endroit préféré (bon j'avoue…je ne suis pas vraiment objective sur ce point-là).

Ambiance à la (baba)cool !

Au-delà de la décoration, aussi formidable soit-elle, l'esprit familial est de rigueur. Tu peux même emprunter des jeux de société pour te divertir tout en buvant un cocktail ou en dégustant du saucisson. Quand on te dit qu'à La Maison tout est possible !

Alors, tu n'es peut-être pas né à l'époque de The Eagles ou de Ray Charles. Tu n'as pas connu le succès de Michel Delpech lors de la sortie de Pour un flirt (bien entendu tu connais quand même les paroles par cœur). Tu as sûrement découvert Woody Allen un peu tardivement. Mais, comme tu as de la chance, tu peux toujours retrouver l'esprit des années 1970 le temps d'un verre (et même plusieurs) et ça, c'est encore plus cool que le lundi au soleil…

La Maison Café
4, rue Lebrun - Nantes
Tél. : 02 40 37 04 12
Du lundi au samedi de 15h à 2h
Le dimanche de 17h à 2h

Un article écrit par Clothilde HUVELIN