Peu d'entre nous avons l'occasion d'observer le pays de notre enfance vu de l'espace. Si ? Ah... Quoi qu'il en soit, moi pas vraiment, donc heureusement que Thomas Pesquet, astronaute français de l'Agence spatiale européenne, nous régale quotidiennement de clichés de la Terre depuis la station spatiale internationale (ISS). En bon Parisiens autocentrés que nous sommes, l'image qui a le plus retenu notre attention est sans surprise celle de la Ville Lumière la nuit... et le moins que l'on puisse dire, c'est que Paris porte bien son nom. Voyez plutôt...
Prépare ta moustache, ton plus beau survêt’ fluo et ton flow des années 2000, parce que le roi du rap parodique est de retour ! Fatal Bazooka, aka Michaël Youn, pose ses valises à Nantes pour un concert complètement fou le samedi 7 juin, et ça va chauffer sévère au Warehouse !
Oui, tu as bien lu. L’homme derrière les tubes cultes “Fous Ta Cagoule”, “Parle à ma main” ou encore “Mauvaise foi nocturne” vient retourner la scène du Warehouse avec son humour barré et ses punchlines qui font toujours mouche. Le rendez-vous est donné à 23h59 tapantes et ça va durer jusqu’à l’aube (6h du matin). De quoi suer du front, danser en claquettes chaussettes et crier “Stach Stach” à pleins poumons.
Viens déguisé ou viens pas
Le dress code ? DÉGUISEMENT OBLIGATOIRE (ou presque). Plus c’est kitsch, plus c’est validé. Perruque, lunettes de ski, jogging léopard, ou total look Yamakasi : tout est permis, tant que ça claque. Et qui sait, peut-être que ton look te vaudra une apparition sur l’écran géant ou un gros plan sur Insta.
Abonne-toi à la newsletter pour rester connecté !
Les places partent vite, fréro
Les billets sont déjà en vente, et autant dire qu’ils s’arrachent plus vite qu’un paquet de Monster Munch à la récré : *Prévente mobile : 19,99€ *Prévente Early Bird : 23,99€ *Prévente classique : 27,99€ *Prévente Last Chance : 30,99€
Dispo uniquement via l’appli du Warehouse, donc checke ton tel maintenant, mec.
Prépare-toi à une nuit de nostalgie, de second degré et de gros bangers. Parce que oui, le rap, c’était mieux avant… surtout quand c’était fait pour rire.