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L’effet de l’automne sur notre mental…et notre vie sexuelle

Publié le 23 septembre 2019 à 18h57

Modifié le 24 septembre 2019 à 13h52

par La Rédac'

Pluie, ciel gris et vents froids... L’automne est arrivé. Les changements de températures, ne sont cependant pas les seules modifications qu’entrainent les changements de saisons… Preuves à l’appui.

Ce n’est pas nouveau, le retour du froid nous plonge en général dans une dépression chronique post-été. Selon un sondage réalisé par le Huffington Post, 41% des personnes interrogées se ressentent plus fatiguées à l’automne, et 22% plus déprimées. Encore plus édifiant, nous apprenons que 57% des français (1 sur 2) confirme que cette saison détient une incidence sur son moral, et 60% sur leur énergie. Mais, alors que tous ces chiffres additionnés les uns aux autres nous donnent une impression de loose monumentale, une autre information contradictoire nous arrive tout droit dans l’oreillette…

Automne rime avec libido (ça ne s’entend pas, mais OUI). On pourrait même dire que l’automne, est la libido… On s’explique. D’après la psychologue Jena Pincott, l’amour fait son grand retour une fois les feuilles tombées. Primo, les taux d’hormones exploseraient à la fin de l’été, deusio, les relations sexuelles sont plus facilement envisageables : on oublie la canicule et tous les désagréments qui nous poussent à nous tenir à 2 bras de distance avec son partenaire. En automne il ne fait ni trop chaud, ni trop froid, on est boosté par la confiance en soi. On ne vous fait pas de dessin, neuf mois plus tard : c’est la période de l’année qui connait le plus de naissances. Coïncidence ?

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Nice fait partie des villes les plus chères du monde selon ce classement

Publié aujourd'hui à 19h00

par Camille Miranda

Le classement mondial des villes les plus chères de Wealth Report de Naef Prestige et Knight Frank vient de sortir et surpriiiise : Nice s’y fraye une belle place ! Avec un prix moyen de 15 000 USD/m² (= 15 000 dollars), la ville rejoint les métropoles qui ne plaisantent pas côté coût de la vie, pas très loin de Genève, Singapore, Sydney ou encore Los Angeles. Concrètement, ça veut dire que poser ses valises dans un 50 m² à Nice te coûterait (en théorie) la modique somme de 750 000 dollars. Une broutille… sauf si tu comptes en vivre sans trop bosser.

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La French Riviera, ça se paie !

Si les prix explosent autant, c’est parce que Nice a tout pour plaire : soleil, mer turquoise, cadre de vie de rêve et un dynamisme culturel et économique qui attire aussi bien les touristes que les investisseurs. Résultat : la demande grimpe en flèche, et l’immobilier suit malheureusement…

Évidemment, ces chiffres restent des moyennes haut de gamme, souvent tirées vers le haut par les biens d’exception. Mais ils reflètent bien la tendance générale : à Nice, se loger devient un vrai luxe, et la pression immobilière continue de grimper, notamment dans les quartiers centraux et en bord de mer !

Source : Henley & Partners


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