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Un couple a planté 2 millions d'arbres en 20 ans pour faire revenir les animaux

Publié le 25 avril 2019 à 12h04

Modifié le 28 avril 2019 à 16h55

par La Rédac'

Vous connaissez peut-être le photographe brésilien Sebastião Salgado, ou alors son film Le Sel de la Terre ? Lui et sa compagne Lélia ont commencé à planter des arbres dans une forêt il y a 20 ans. Un travail long et ambitieux qui a porté ses fruits.


L'histoire commence il y a plus de 30 ans, quand le photographe franco-brésilien rentrait d'une mission de reportage sur le génocide du Rwanda. À son retour, il ambitionne de reprendre le ranch d'élévage famillial. Cette large étendue florissante, verte et couverte d'arbres n'était plus qu'une grande pleine immaculée. Seul 0,5% de la surface de cette forêt de 710 hectares possédait encore des arbres. Mais surtout, tous les animaux étaient partis


© Instituto Terra

Sebastião et sa femme se lancent alors le défi incroyable de replanter tous les arbres pour faire revenir les animaux et redonner à la région ses couleurs d'antan. Pour les aider dans leur entreprise, ils créent en 1998 l'association Instituto Terra. Pari gagné : en 20 ans, la nature et la faune sont de retour. Deux millions d'arbres ont poussé, 293 espèces différentes ont rejoint la nouvelle "région" dont 172 espèces d'oiseaux, 33 de mammifères et 15 d'amphibiens et reptiles. Mais aussi de nouvelles sources d'eau et un rafraichissement des températures locales.


© Sebastião Salgado - La "forêt" en 2001


© Weverson Rocio - Le resultat du travail du couple et de l'association en 2019


Une belle note d'espoir et un bel exemple de ce que l'homme est capable d'accomplir pour aider la planète. On leur tire notre chapeau ! 

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Côté budget, c’est plus que raisonnable : les billets oscillent entre 85 et 189€. De quoi t’offrir un city break pas trop cher, sans trop réfléchir. Moins bondée que ses voisines, Bucarest vaut clairement le détour, c’est un beau mélange de vestiges historiques, vie culturelle vibrante, restos branchés et soirées bien animées ! Encore préservée du tourisme de masse, la ville t’offre un dépaysement total sans les files d’attente. 

Un city trip à prix mini

Et la bonne nouvelle, c’est que tu n’as même pas besoin de ton passeport. Depuis janvier 2025, la Roumanie fait partie de l’espace Schengen. Une simple carte d’identité te suffira pour découvrir cette pépite !

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