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Un bar à chocolat de 1 500 m2 ouvre dans un jardin d’hiver du Marais

Publié le 14 novembre 2024 à 17h00

par Flora Gendrault

La petite vague de froid qui vient de s'installer dans la capitale serait-elle un bon prétexte pour une régalade sucrée lové·e dans de gros canapés ? Oui, oui et encore oui ! Surtout si cette pause cocooning est signée l’hôtel quatre étoiles Les Jardins du Marais. Plaisir, partage, découverte et créativité sont les maîtres-mots de ce lieu qui, on en est sûr, saura nous réchauffer.

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S’abriter dans une cour cachée 

Il nous faudra entrer par une discrète allée pavée pour accéder à l'immense terrasse d'hiver  aménagée dans une cour cachée de 1500 m2. Au menu des réjouissances : une belle sélection de bouchées chocolatées, des gaufres arrosées de chocolat, de caramel et de chantilly, le tout accompagné de vin chaud ou d'un délicieux chocolat chaud.


Une ambiance d’après-ski 

Niveau déco, c’est un sans-faute : on a le sentiment d’avoir terminé de dévaler une piste rouge bien corsée et d’être récompensé par un petit cocon où s’attabler, doté d’un petit plus : des plaids sont mis à disposition, tandis qu’on se croit à la montagne avec les – fausses – peaux de bête qui ornent les tables. Pour une dégustation cosy dans une ambiance d’après-ski, c’est par ici ! 

Chocolate bar 
Hôtel Les Jardins du Marais 
74, rue Amelot – 11e
Du 22 novembre au 22 décembre 2024
Les vendredis, samedis et dimanches 
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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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