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Ce week-end, dégustez des vins nature en illimité pour 15€ dans le 11e

Publié le 21 novembre 2024 à 17h00

par Lucie Guerra

C’est le grand retour de notre salon des vins préféré ! Dimanche 24 et lundi 25 novembre, Vini di Vignaioli revient dans la capitale pour la 8e édition, pour nous faire découvrir les meilleurs vins nature d’une cinquantaine de vigneron·nes italien·nes. La bonne nouvelle ? Pour seulement 15€, vous allez pouvoir vous offrir un petit voyage à travers les productions viticoles de toute l’Italie, avec modération bien sûr !

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Du vin mais aussi de la gastronomie italienne

Au programme : des rencontres et des dégustations de centaines de vins en provenance des quatre coins de l’Italie. De Toscane, de Sicile ou encore de Lombardie… toutes les productions et les producteur·rices seront mis à l’honneur. Boire est une chose, manger en est une autre ! Pour l’occasion, vous pourrez laisser vos papilles frétiller, ne serait-ce qu’à la vue du panettone au levain, des pâtes concoctées en direct ou des autres produits bio tout droit venus de la Botte. Pour les plus curieux·ses, une masterclass intitulée "L’Italie unifiée de Pellegrino Artusi : une nation à boire et à manger" sera donnée le 24 novembre à partir de 17h30.


Plus de 20 ans d’existence 

Si le salon ne s’invite dans la capitale que depuis 2016, c’est en réalité en 2002, à Fornovo, qu’il voit le jour sous l’impulsion de Christine Marzani. Quatorze ans plus tard, l’œnologue Claudia Galterio propose à cette dernière d’importer le salon à Paris. Chaque année, la capitale française a donc droit à l’immersion la plus totale dans la culture viticole italienne. Plus qu’un simple salon du vin, Vini di Vignaioli permet de mettre en lumière des savoir-faire singuliers et une volonté commune de produire des vins de qualité, en respectant la vie de la terre, de la vigne et du raisin. 

Palais de la Femme
94, rue de Charonne – 11e
Dimanche 24 novembre de 11h à 19h
Lundi 25 novembre de 10h à 18h
Tarifs : 15€ pour un jour, 25€ pour deux jours
Plus d'infos 

Attention, l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération ! 

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Guy Georges, ou « le tueur de l'Est parisien »

C’est peut-être le serial killer le plus funestement célèbre de cette liste. Dans les années 80 et 90, Guy Rampillon, de son nom de naissance, terrorise les rues de la capitale. Après une enfance fortement marquée par des faits de violence, il passe deux décennies à enchaîner les crimes dans la capitale, violant et tuant ses victimes principalement dans l’est de Paris (même si son premier crime reconnu dans Paris a eu lieu dans le 16e en 1981). Une prédilection de quartier d’activité qui lui vaudra également le surnom de « l'ogre de la Bastille ». Il faudra attendre le 26 mars 1998 pour qu’il soit arrêté pour la 3e fois, cette fois-ci définitivement, et condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans. Au total, ce sont une dizaine de meurtres et de viols de femmes qui lui sont attribués.


François Vérove, alias le « Grêlé »

C’est sans doute l’un des plus grands faits divers de la capitale, puisque l’identité du « Grêlé » est restée un mystère pendant 35 ans. Un surnom qui est attribué à François Vérove, alors gendarme inconnu, suite à la description de plusieurs témoins de ses crimes d’un homme au visage “irrégulier”. Et si son premier crime (connu) remonte au 7 avril 1986, date à laquelle il entraîne une écolière de 8 ans dans le sous-sol d’un immeuble pour la violer et l’étrangler — sans la tuer —, il faudra attendre 2021 pour qu’il reçoive sa première convocation pour un contrôle. Des décennies entières pendant lesquelles il continue de mener sa petite vie pépère, participant même à Tout le monde veut prendre sa place en 2019, avant d’être inquiété par la justice. Un événement à la suite duquel François Vérove préfère se donner la mort, avant que son ADN ne permette de le relier à une dizaine de viols et de meurtres, la plupart sur mineurs, s'étalant sur 8 ans dans les rues de Paris.


Marcel Petiot, dit « le docteur »

Cette fois-ci, on remonte un peu le temps, pour s’intéresser à l’histoire de Marcel Petiot, arrivé à Paris en 1936, alors qu’il est âgé de 33 ans et a déjà été poursuivi par la justice pour plusieurs délits “mineurs”, comme des vols et des détournements de fonds. Et visiblement, la capitale lui donne des ailes, puisqu’il décide de passer au niveau supérieur, utilisant le contexte de la Seconde Guerre mondiale pour répondre à ses pulsions meurtrières. Pendant plus d’un an, il attire dans son cabinet des personnes clandestines, sous prétexte de leur proposer une échappatoire au régime nazi. Mais la réalité est toute autre. En mars 1944, la police, alertée par les voisins à cause de fumées et d’odeurs insupportables, pénètre dans son domicile, pour y découvrir les restes de 27 cadavres, et de nombreuses valises. Il sera finalement condamné à mort deux ans plus tard.


Thierry Paulin, aka « le tueur de vieilles dames »

En 1984, Thierry Paulin, 21 ans et toxicomane notoire, s’installe à Paris avec son amant de 18 ans, Jean-Thierry Mathurin. Commence alors pour les deux jeunes hommes une période intense, puisqu’en à peine plus d’un mois, du 5 octobre au 12 novembre de la même année, ils agressent et tuent sauvagement 8 femmes âgées vivant toutes dans le 18e. Après une pause, et un bref passage par Toulouse, les deux amants finissent par se séparer, et Thierry Paulin remonte à Paris. Visiblement nostalgique de sa période de couple, il se lance alors dans une nouvelle frénésie meurtrière, seul cette fois-ci, tuant et détroussant huit nouvelles victimes, toujours âgées et toujours dans le nord de la capitale, entre le 20 décembre 1985 et le 14 juin 1986. Il sera arrêté une première fois en 86, relâché quelques mois plus tard, avant de tuer deux autres victimes, et d’être cette fois condamné pour 18 meurtres en 87, même s’il en a reconnu 21. Il meurt 2 ans plus tard du sida, tandis que Jean-Thierry Mathurin, condamné à la perpétuité en 1991, sera finalement libéré en 2012.


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