se-rie-brigitte-macron-gaumont-le-bonbon-paris

Une série romanesque serait en préparation sur... Brigitte Macron

Publié le 17 avril 2024 à 18h30

Modifié le 17 avril 2024 à 18h43

par Clémence Varène

Vous pensiez que les histoires d’amour des Bridgerton étaient trépidantes ? Les scènes de combat de House of the Dragon haletantes ? Les intrigues de Sherlock fascinantes ? Attendez un peu de voir ce que vous réservent les productions Gaumont, qui viennent d’annoncer une mini-série dédiée à l'ascension singulière de notre Première dame Brigitte Macron.


Brigitte, la nouvelle star du petit écran ?

Décidément, plus rien n’arrête la Première dame ! Après un passage très remaqué sur le tournage de la prochaine saison d'Emily in Paris, où elle fera sans doute une apparition, Brigitte Macron bouleverse une fois encore le monde du streaming ! Et pour cause, Gaumont vient de révéler être en train de travailler sur un projet de série en 6 épisodes, très dramatiquement intitulée Brigitte, une femme libre.

La série retracera a priori son parcours singulier, des salles de classe où, alors professeure de théâtre, elle rencontre Emmanuel Macron, jusqu’aux couloirs de l’Élysée où elle exerce aujourd’hui ses fonctions avec beaucoup de succès. Chaque épisode, d’une durée de 45 minutes, s'intéressera à « la trajectoire romanesque de la Première dame ». Voilà qui annonce une série tout à fait captivante.


Une fiction romancée

Attention cependant, si Brigitte est la muse de ce projet, des proches du couple présidentiel ont pourtant affirmé que le palais de l'Élysée n’était pas impliqué dans la production et la réalisation de la série, et en avait pris connaissance lors de l’annonce faite par Gaumont ce mardi 16 avril, via leurs réseaux sociaux. Gaumont qui a d'ailleurs précisé que la série resterait avant tout une fiction, centrée principalement sur l’histoire d’amour entre le Président et sa femme.

Pour l’instant, si ce n’est les noms des scénaristes (Bénédicte Charles et Olivier Pouponneau), aucune information n’a été dévoilée sur le casting. Et si on attend une date de diffusion avec impatience, on trépigne surtout littéralement à l’idée de savoir qui interprétera les tourtereaux aux prémices de leur histoire. Roselyne Bachelot, interrogée sur le sujet, a mentionné le nom de Ryan Gosling et Julia Roberts, et on se dit que pourquoi pas…

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
shutterstock-2471998729

Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


À LIRE AUSSI