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Le chalet d’Anatomie d’une chute est à louer sur Airbnb

Publié le 1 mars 2024 à 14h46

Modifié le 1 mars 2024 à 18h03

par Clémence Varène

On le connaît, le coup de la fin soumise à interprétation. Mais nous, on n'est pas convaincu·es par le choix de Justine Triet, et on compte bien aller mener l’enquête nous-mêmes pour avoir le fin mot de l’histoire. Et ça tombe bien, puisque le maintenant célébrissime chalet d'Anatomie d'une chute, point de départ de toute cette histoire tragique, nous ouvre ses portes depuis Airbnb.


Un nouveau point de chute

Car avant d’être le décor d’un drame familial poignant, cette demeure est avant tout un magnifique chalet savoyard des années 1900, qui pourrait sans souci devenir le point de chute de vos prochains week-ends (sans mauvais jeu de mots). Et pour cela, rendez-vous sur le site d'Airbnb.

Attention cependant, pour ceux qui s’imaginent déjà pousser la porte et se retrouver entre les 4 murs de l’intrigue, on vous arrête tout de suite. En effet, les équipes du tournage ont déjà expliqué avoir redécoré intégralement l’endroit pour les besoins du film, et tout retiré ensuite.

Mais rassurez-vous, vous retrouverez bien l’extérieur intouché, et surtout la vue incroyable sur les montagnes alentour, qui vaut vraiment le détour. Le logement, disponible pour 4 personnes et situé à Villarembert, offre une vraie déconnexion, puisqu’il n’y a pas de wifi, et très peu de réseau. L’endroit idéal pour un meurtre, finalement…


Chalet à Villarembert (73318)

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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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