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Doctor Sleep, le suite de Shining, s'annonce dans une bande

Publié le 9 septembre 2019 à 12h23

Modifié le 9 septembre 2019 à 12h41

par Louis Haeffner

Outre le jeu de mots génial contenu dans le titre de cet article et dont je suis extrêmement fier, sachez chers fans de ciné que la suite du film culte de Stanley Kubrick, The Shining en VO, débarque fin octobre au cinéma. 


Ça s'appelle Doctor Sleep ("Docteur Sommeil" en français pour les moins anglophones d'entre vous) et ce sera, je vous le donne en mille, un film d'horreur. On imagine qu'on y retrouvera un bon paquet de références à l'œuvre originelle de Stephen King, dont c'est d'ailleurs une nouvelle adaptation de roman, puisque le maître avait publié cette suite de son Shining, l'enfant lumière en 2013.

Au casting on retrouve Ewan McGregor en Dan Torrance, le gamin au tricycle devenu grand, aux prises avec une espèce de sorcière vaudou et sa bande de potes fantômes en quête d'immortalité. Bon voilà, le scénario ressemble à une dissert' de lycéen gothique, mais qui sait, peut-être que ce sera super ? Les images en tout cas, donnent plutôt envie :


Doctor Sleep
, de Mike Flanagan

Avec Rebecca Ferguson, Jacob Tremblay, Ewan McGregor
En salles le 30 octobre

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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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