Michel Hazanavicius avait confirmé qu’il ne serait pas aux commandes du troisième volet de la saga. Désormais, nous savons qui prendra sa relève…
Nicolas Bedos, on l’a connu en tant que chroniqueur, auteur, acteur (L’amour dure trois ans, Amour et turbulences), puis réalisateur. Ces différentes facettes ont toujours été sujettes à débat entre détracteurs et amateurs. Toutefois, en enfilant sa casquette de cinéaste avec Monsieur & Madame Adelman, il est salué par la critique avec deux nominations aux César ainsi que le Swann d’or de la révélation féminine pour Doria Tillier au Festival du Film de Cabourg.
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Il obtient ainsi ses lettres de noblesse, et s’offre la réalisation d’un second film, La belle époque, actuellement présenté à Cannes hors compétition. Par ce biais, il frappe fort avec un casting hyper quali avec Fanny Ardant, Denis Podalydès, Guillaume Canet, Daniel Auteuil et, bien sûr, Doria Tillier.
Du coup, on est surpris qu'à moitié quand on apprend qu’il prendra la relève de Michel Hazanavicius aux manettes de la saga OSS 117. En effet, selon le JDD : « Nicolas Bedos quitte Paris et le début des castings du troisième OSS 117, dont il sera le nouveau réalisateur, pour monter les marches du Festival de Cannes ».
Ce troisième volet est attendu au tournant puisqu’il est orphelin de son père d’origine. Toutefois, Jean Dujardin avait déjà confirmé qu’il serait de la partie, et les scénaristes seront les mêmes. En revanche, la prestation de Bedos derrière la caméra sera probablement dans toutes les bouches.
On attend avec impatience les infos qui complèteront très prochainement le puzzle, dont le casting et le synopsis. On garde les oreilles ouvertes…
Avec l'arrivée du soleil et l'approche des grandes vacances, on rêve d'ailleurs. Pour voyager tout en restant dans la capitale, on vous a concocté une liste do braziou ! Voici les meilleurs restaurants brésiliens de Paris, à déguster sans modération.
Mexicaine, grecque, italienne, thaïlandaise... Paris regorge de cuisines singulières venues des quatre coins du monde. Et quand on rêve d'une petite escapade gastronomique, le Brésil et ses plats riches et goûtus nous vient tout de suite en tête. Alors, tenté·e ?
Gabriela
En poussant les portes vertes de Gabriela, on entre dans une véritable jungle urbaine. Le restaurant-épicerie s'illustre telle une favelas, haute en couleur et en saveur. Sur place ou à emporter, on déguste par exemple le fameux Feijoada,plat national brésilien à base de porc, haricot noir, riz et chou vert, ou le Vatapá, une crème au lait de coco, gingembre et épices accompagnée de gambas sautées. Pour les petites faims ou en entrée, on retrouve une multitude de "Petiscos" comme les frites de manioc (Mandioca frita), ou les célèbre petits pains au fromage (pão de queijo).
Envie de chaleur ? Brasileirinho fait monter la température, ambiance carnaval de Rio. Entre tradition et innovation, les classiques (revisités ou non) de la cuisine brésilienne sont tous à la carte. Pas de lianes ou de sables d'Ipanema pour la décoration, mais le soleil est bien dans les assiettes. Le petit plus : le week-end, des musiciens locaux assurent le show.
Ce petit restaurant importe la chaleur brésilienne avec sa cuisine traditionnelle et ses sons dansants. On retrouve la lambada dans les assiettes : des couleurs, des saveurs, des assiettes généreuses. Ne comptez pas sur le décor épuré et ses canapés chesterfield pour vous faire voyager en Amérique du Sud, tout se passe en cuisine !
Pour leur premier resto, Lucas Baur de Campos et Ninon Camille Lecomte, couple franco-brésilien, avaient un objectif : « Mettre à l'honneur la culture du bœuf cuit au BBQ comme ils font en Uruguay notamment ». Originaires du sud du Brésil, à la frontière entre l'Uruguay et l'Argentine, les deux cuistots voulaient ramener à Paris ce côté « feu de bois, BBQ»qui manque à notre cuisine parisienne. L'idée ? Utiliser des produits locaux et y apporter une touche brésilienne, uruguayenne et argentine. Simple, efficace et terriblement goûtu. Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur page Facebook.
À la recherche d'un restaurant de viande à volonté ? Votre investigation prend fin ici. Chez Rodizio, la viande, c'est sacré. Il vous faudra vous rendre à Colombe pour profiter de ces mets grillés à la broche : rumsteack, poulet, agneau... Tous les viandards seront à coup sûr comblés. L'expérience culinaire brésilienne s'accompagne d'une explication autour du rodizio, qui vient du verbe "rodar" en portugais qui signifie "tourner". Ah oui, dernière info mais pas des moindres : ce restaurant brésilien est aussi halal.
Direction la Rive Gauche pour profiter de plats gourmands et de soirées festives. Au menu, des tapas à partager, mais aussi des plats individuels traditionnels : Feijoada, Maoqueca de Camarao, Xinxim de Galinha et on en passe. Des noms exotiques qui, on vous l'assure, vont vous faire saliver et qui s'associent à merveille avec la musique live et les soirées DJ régulièrement organisées.