jnfdjndfjn

La série animée d’Alain Chabat sur Astérix sortira sur Netflix en 2025

Publié le 11 décembre 2023 à 17h53

Modifié le 12 décembre 2023 à 17h50

par Flora Gendrault

Pour nous, le dernier Astérix, c’est un assez gros flop. Avec L’Empire du Milieu, cinquième film de la saga inspirée des œuvres d’Uderzo et Goscinny, Guillaume Canet n’a pas pas vraiment fait l’unanimité, entre mauvaises blagues, acteur·rices pas vraiment au point et erreurs de montage

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par 24heures.ch (@24heures.ch)

S’il y en a un, par contre, qui n’a jamais déçu, c’est Alain Chabat. Réalisateur de l’indétrônable comédie Mission Cléopâtre, qui a enregistré plus de 25 millions d’entrées dans les salles obscures du monde entier, l’acteur et réalisateur se remet au travail, 20 ans après sa sortie. Et contrairement à son premier succès, c’est pour une série d’animation 3D qu'il s'est engagé, adaptée du septième album de la bande dessinée, Le Combat des chefs, publié en 1966.


Panoramix zinzin après un coup de menhir 

Dans cet album, Panoramix devient fou et amnésique après s'être reçu un menhir, malencontreusement lancé par Obélix, sur la tête. Le récit a d'ailleurs déjà été mis en scène dans le film d'animation Astérix et le Coup du menhir (1989). 

Ce projet carrément excitant a été annoncé en 2021, et on l’attendait pour 2024. Finalement, il faudra encore patienter un peu : la maison d’édition Albert René a expliqué dans un communiqué que « c’est à Toulouse, au sein du studio TAT, que la série est actuellement produite. » Rendez-vous est donné devant vos écrans le 1er semestre 2025


Une exposition immersive Astérix en octobre 2024

Si vous boudez parce que ça semble être dans une éternité, vous pouvez toujours vous procurer le dernier album en date, L’Iris blanc, disponible en librairie depuis octobre 2023. Les personnages de la bande dessinée seront également au cœur d’une exposition immersive en octobre 2024 dans la capitale, et le musée Grévin dévoilera en 2024 des statues d’Astérix, Obélix et Idéfix.

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
serge-gainsbourg

Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
Plus d’infos


À LIRE AUSSI