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LV Dream : la nouvelle expérience immersive avec expo, chocolaterie et pâtisserie à Paris

Publié le 2 novembre 2022 à 15h35

Modifié le 3 novembre 2022 à 13h55

par Louise Chenuet

Quelques mois seulement après l’ouverture de son premier restaurant à Saint-Tropezla marque historique du groupe LVMH dévoile son nouveau projet, à mi-chemin entre culture et gastronomie, en plein cœur de la capitale. À partir du 16 novembre, vous pourrez découvrir en exclusivité des pièces emblématiques des collections de la maison Louis Vuitton, fondée en 1854. Située dans le quartier du Marais, l’exposition gratuite LV Dream vous plonge dans une expérience immersive et interactive.

@Louis Vuitton

À travers cette rétrospective, la maison de luxe revient sur plus de 160 ans de création en mêlant des modèles historiques à ses plus importantes collaborations artistiques. Que ce soit avec Takashi Murakami ou Supreme, la marque a toujours su innover en dialoguant avec les plus grands artistes contemporains et les marques de son temps. Sans oublier le meilleur pour la fin ! À l’issue de votre visite, vous pourrez profiter d’un café et d’une dégustation de pâtisseries et chocolats réalisés par le chef étoilé Maxime Frédéric, et ce dans un cadre dépaysant. 


Une rétrospective exclusive et éclectique

À travers cette exposition interactive, Louis Vuitton rend hommage aux créateurs avec qui la marque a collaboré et retrace l’évolution de son savoir-faire dans le temps. La maison parisienne, connue pour avoir révolutionné la bagagerie en inventant la malle plate, n’a cessé d’innover et s’est positionnée comme précurseur de tendances. Cette visite sera également l’occasion de découvrir un lieu d’exception : l’ancien magasin parisien La Belle Jardinière réinvesti pour l’occasion. En parcourant les neuf salles (Louis Vuitton : As seen by… ; The World of Vuitton according to Rei, Leathergoods in Fashion...), vous voyagerez dans un univers immersif : LV Dream. Celui-ci vous fera rêver, comme son nom l’indique, en vous faisant découvrir des collections exceptionnelles, jamais dévoilées au grand public, ainsi que des collaborations artistiques exclusives.


Le prolongement gastronomique de la visite : la chocolaterie
 “Maxime Frédéric at Louis Vuitton”

@Louis Vuitton

Située à deux pas du restaurant le Cheval Blanc, LV Dream signe également une collaboration avec le chef pâtissier Maxime Frédéric, lauréat du prix du Guide Gault & Millau de chef-pâtissier de l'année 2022. Une façon pour la maison Louis Vuitton d'élargir son univers en se tournant vers la gastronomie grâce à un café-chocolaterie nommé “Maxime Frédéric at Louis Vuitton”, situé au premier étage du bâtiment. Vous pourrez profiter d’une sélection de créations pâtissières uniques au sein d'un cadre aux allures de jardin tropical, ainsi que d'un délicieux café. La touche finale : un assortiment de chocolats estampillés Louis Vuitton, présentés dans des écrins emblématiques de la maison. Quoi de mieux pour se réconforter par un temps pluvieux ?

@Louis Vuitton

Enfin, pour garder un souvenir de votre visite, ou pour faire un cadeau d’exception à un proche, vous n’aurez qu’à parcourir la spacieuse boutique du LV Dream proposant des créations avec un logo exclusif dédié à l’exposition, mais également une sélection de petite maroquinerie, accessoires, parfums et publications de la marque.

L’accès à l’exposition est gratuit, toutefois il vous faudra vous inscrire en ligne pour obtenir votre place. Un conseil : ne tardez pas à réserver car LV Dream risque de rencontrer un franc succès ! En attendant, vous pourrez toujours profiter du gift shop, du café et de la chocolaterie qui restent en accès libre. Et si vous êtes pris d’une passion pour la pâtisserie après avoir savouré les créations de Maxime Frédéric, n’hésitez pas et inscrivez-vous aux meilleurs cours de pâtisserie de Paris !

Exposition LV DREAM
2, rue du Pont-Neuf – 1er
À partir du 16 novembre 
Ouvert tous les jours de 11h à 20h 
Entrée gratuite sur réservation en ligne 
Plus d’infos sur le site

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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