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Lollapalooza, le meilleur des festoches pour bien manger

Publié le 1 juillet 2019 à 17h11

Modifié le 1 juillet 2019 à 17h31

par Sarah Leris

Ce mythique festival itinérant est né en Amérique du Nord en 1991 (pour info, Lollapalooza se traduit en argot américain par "quelque chose de très impressionnant"). Faisant tout d'abord la part belle au rock alternatif, ce festival, qui a sillonné les U.S.A et le Canada, est vite devenu mythique.

Ouvrant sa programmation à des artistes plus populaires, le festival n'oublie cependant pas de mettre en avant des talents émergents, et a su trouver le juste équilibre entre têtes d’affiche mondiales et musiciens en devenir. Arrivé pour notre plus grand plaisir en France en 2016, Lollapalooza a de suite rencontré un grand succès. Sa troisième édition se déroulera comme les années précédentes dans le magnifique cadre de l’Hippodrome de Longchamp, samedi 20 et dimanche 21 juillet.

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Parmi les plus attendus, seront cette année au programme : le hip-hop hybride de Twenty One Pilots, l’EDM ravageuse de Martin Garrix, la prose poético-agressive d’Orelsan, les légendaires IAM, le rock indie de The Strokes, la trap de Migos...

Alliant plaisir musical au plaisir gustatif, le festival sera investi par Lola Chef, un vaste espace de restauration tenu par le très coté Jean Imbert. Avec ses 6 invités (Yann Couvreur, Cédric Grolet, Christophe Adam, Anthony Clémot, Denny Imbroisi, Yoni Saada, bref, le top du top), ils concocteront des plats signatures revisités façon street-food gastronomique. On en salive d’avance.

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Lollapalooza
Hippodrome Paris Longchamp – 16e
Les 20 & 21 juillet 2019
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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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