Pour la 21e fois, cinéastes en herbe comme professionnels à travers le monde entier sont conviés à cette grand-messe filmique. Le projet ? rendre compte de la diversité et de la qualité des cinéastes contemporains au travers d'un format très court : 4 minutes maximum. Pas de temps à perdre, ça commence aujourd'hui !
Près de 80 villes, plus de 20 pays, 5 continents, une centaine de films, 3 sélections thématiques et 3 compétitions, 6 récompenses, et bien sûr, 4 minutes, voilà les chiffres qui donnent au Très Court International Film Festival ses lettres de noblesse. Des chiffres et des lettres donc, pour mettre en valeur le talent des participants, mais également une certaine vision du monde et de ses spécificités culturelles.
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La nouveauté cette année, c'est une troisième compétition (en plus de la Compétition internationale et de Paroles de Femmes) intitulée le Défi 48h Très Court. En quoi ça consiste, vous demandez-vous. C'est très simple, il s'agit de réaliser un film en 48h top chrono avec quatre contraintes à respecter, dont le thème de cette année : l'environnement. Le top départ est donné aujourd'hui 7 juin à 19h lors de la soirée de lancement du festival qui se tiendra au Forum des images et sur les réseaux sociaux.
Pour le reste et comme l'année dernière, il s'agit surtout de se faire plaisir et de se régaler de l'inventivité des cinéastes participants, car si 4 minutes peuvent paraître courtes, on peut quand même y trouver des trésors. À Paris, la chasse se déroule les 15 et 16 juin avec la diffusion des films et la cérémonie de remise des prix.
Avec l'arrivée du soleil et l'approche des grandes vacances, on rêve d'ailleurs. Pour voyager tout en restant dans la capitale, on vous a concocté une liste do braziou ! Voici les meilleurs restaurants brésiliens de Paris, à déguster sans modération.
Mexicaine, grecque, italienne, thaïlandaise... Paris regorge de cuisines singulières venues des quatre coins du monde. Et quand on rêve d'une petite escapade gastronomique, le Brésil et ses plats riches et goûtus nous vient tout de suite en tête. Alors, tenté·e ?
Gabriela
En poussant les portes vertes de Gabriela, on entre dans une véritable jungle urbaine. Le restaurant-épicerie s'illustre telle une favelas, haute en couleur et en saveur. Sur place ou à emporter, on déguste par exemple le fameux Feijoada,plat national brésilien à base de porc, haricot noir, riz et chou vert, ou le Vatapá, une crème au lait de coco, gingembre et épices accompagnée de gambas sautées. Pour les petites faims ou en entrée, on retrouve une multitude de "Petiscos" comme les frites de manioc (Mandioca frita), ou les célèbre petits pains au fromage (pão de queijo).
Envie de chaleur ? Brasileirinho fait monter la température, ambiance carnaval de Rio. Entre tradition et innovation, les classiques (revisités ou non) de la cuisine brésilienne sont tous à la carte. Pas de lianes ou de sables d'Ipanema pour la décoration, mais le soleil est bien dans les assiettes. Le petit plus : le week-end, des musiciens locaux assurent le show.
Ce petit restaurant importe la chaleur brésilienne avec sa cuisine traditionnelle et ses sons dansants. On retrouve la lambada dans les assiettes : des couleurs, des saveurs, des assiettes généreuses. Ne comptez pas sur le décor épuré et ses canapés chesterfield pour vous faire voyager en Amérique du Sud, tout se passe en cuisine !
Pour leur premier resto, Lucas Baur de Campos et Ninon Camille Lecomte, couple franco-brésilien, avaient un objectif : « Mettre à l'honneur la culture du bœuf cuit au BBQ comme ils font en Uruguay notamment ». Originaires du sud du Brésil, à la frontière entre l'Uruguay et l'Argentine, les deux cuistots voulaient ramener à Paris ce côté « feu de bois, BBQ»qui manque à notre cuisine parisienne. L'idée ? Utiliser des produits locaux et y apporter une touche brésilienne, uruguayenne et argentine. Simple, efficace et terriblement goûtu. Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur page Facebook.
À la recherche d'un restaurant de viande à volonté ? Votre investigation prend fin ici. Chez Rodizio, la viande, c'est sacré. Il vous faudra vous rendre à Colombe pour profiter de ces mets grillés à la broche : rumsteack, poulet, agneau... Tous les viandards seront à coup sûr comblés. L'expérience culinaire brésilienne s'accompagne d'une explication autour du rodizio, qui vient du verbe "rodar" en portugais qui signifie "tourner". Ah oui, dernière info mais pas des moindres : ce restaurant brésilien est aussi halal.
Direction la Rive Gauche pour profiter de plats gourmands et de soirées festives. Au menu, des tapas à partager, mais aussi des plats individuels traditionnels : Feijoada, Maoqueca de Camarao, Xinxim de Galinha et on en passe. Des noms exotiques qui, on vous l'assure, vont vous faire saliver et qui s'associent à merveille avec la musique live et les soirées DJ régulièrement organisées.