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Les 50 restos étoilés par le Guide Michelin les moins chers du monde

Publié le 17 juin 2020 à 12h37

Modifié le 30 juillet 2020 à 10h20

par Johanna Witz

Qui ne rêve pas de manger dans un resto étoilé sans avoir à payer une blinde ? C’est ce que propose cette sélection des 50 restaurants étoilés par le Guide Michelin les moins chers du monde. Un repas de chef à 1,90 €, ça te dit ? La liste complète a été dressée par Traveloka dans une belle incitation à la gastronomie accessible et gourmande (et au voyage ?).


Le record du restaurant récompensé par le Guide Michelin le moins cher du monde reviens à Liao Fan, un boui-boui implanté à Singapour proposant une spécialité locale pour moins de 2 € : le poulet au riz havanais.

Si c’est l’Asie qui occupe les huit premières places de ce top 50, l’Europe se positionne très bien avec 33 restaurants étoilés abordables, soit les deux tiers des restaurants sélectionnés. Néanmoins, si le classement commence à moins de 2 €, les prix de ce florilège de gastronomie une et deux étoiles montent jusqu’à 109,50 €. 

Le restaurant français étoilé par Michelin le moins onéreux est Le Pousse-Pied, 16e au rang international, qui se situe en Vendée. La cuisine moderne de ce restaurant bistronomique centré sur les mets provenant de la mer est proposée pour seulement 20 €

À la 41e place, c’est une adresse parisienne proposant une cuisine moderne et internationale que l’on retrouve avec Pertinence et son menu déjeuner de saison entrée+plat+dessert à seulement 45 € en semaine (hors jours fériés).

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Pertinence
29, rue de l’Exposition – 7e
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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié aujourd'hui à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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