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Astro : voici les 3 signes qui seront les plus affectés par Mercure en rétrograde

Publié le 20 avril 2023 à 17h05

Modifié le 20 avril 2023 à 17h51

par Maria Sumalla

Dramas et quiproquos seront au rendez-vous dès ce 21 avril, puisque Mercure entame sa rétrograde en Taureau jusqu’au 14 mai prochain. Cette planète qui régit la réflexion et la verbalisation va nous mener la vie dure pendant presque un mois. On vous prévient, ça va être sport, et surtout pour ces trois signes.


Verseau

L’anticonformiste du zodiaque ? C’est le Verseau, bien évidemment. Esprit libre par excellence, il ne se laisse guider que par son instinct. Malheureusement, ces qualités ne vont pas de paire avec un Mercure en rétrograde qui chamboule tous les moyens de communication. Eh oui, sa spontanéité ne l’aidera pas. Il faudra réfléchir à deux fois avant d’agir.


Sagittaire

Le Sagittaire est une vraie tête brûlée. Après tout, rien d’étonnant pour un signe de feu. Tête en l’air, impatient et quelque peu instable, ce signe aura du mal à s’adapter pendant cette période. Et en même temps, il faut bien le dire, la remise en question n’est pas dans son vocabulaire. Il n'est peut-être pas trop tard pour s’y mettre.


Lion

La star du Zodiaque va devoir faire des efforts… Un peu trop orgueilleux sur les bords, le Lion devra laisser de côté son penchant m’as-tu-vu pour éviter les ennuis et se montrer courageux. Et ça tombe bien, puisque du courage, il en a à revendre. C’est peut-être bien cette qualité qui pourra le sauver durant cette période de Mercure en rétrograde.

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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