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Astro : ces 3 signes seront très impactés par la Nouvelle Lune

Publié le 8 mars 2024 à 18h06

Modifié le 11 mars 2024 à 09h56

par Maria Sumalla

La Lune a une grande influence dans nos vies. Elle régit nos marées, nos récoltes et nous-mêmes. Pas étonnant donc que son cycle nous joue des tours. Et ce dimanche 3 mars, on attaque une phase bien particulière, celle de la Nouvelle Lune, ce moment où l’astre se trouve entre la Terre et le Soleil et est donc totalement invisible. Elle marque le début d'un nouveau cycle lunaire, et donc le début d’une phase dans notre quotidien.

Les astrologues tendent à dire que c’est le moment idéal pour se lancer dans de nouveaux projets. C’est une phase qui mélange aussi bien la créativité que la réflexion. Mais attention : certain·es peuvent parfois ressentir un certain manque dans leur vie, peuvent se sentir fatigué·es, perdu·es ou démuni·es. Dans ce cas-là, on évite de prendre des décisions trop importantes, on se repose et on essaye de prendre du temps pour soi. Vous verrez, ce n’est pas si compliqué. Rechargez bien vos énergies et en avant Guingamp ! Mais pour ces trois signes du Zodiaque, il semblerait que la Nouvelle Lune en Poissons vous réserve bien plus de choses encore…


Vierge

Petite Vierge, tu traverses peut-être un moment de flou, un obstacle qui t'empêche d’avancer. Cette Nouvelle Lune ne pourra donc que t’apporter du bon, du renouveau ! Accueille ta solitude avec bienveillance et ne t’enfuis pas devant la réalité : l’harmonie, l’unité et l’équilibre sont presque à ta portée. Prends le temps de réfléchir…


Gémeaux

Nos bons vieux Gémeaux aiment user de leurs charmes, ont les idées qui fusent, mais peut-être un peu trop ces derniers temps ? L’inconstance et les promesses non tenues peuvent commencer à gonfler votre entourage. Alors hop, hop, hop, on ralentit et on se repose. Il est temps de faire ressortir le bon vivant créatif en vous. Promis, vous serez récompensé·e…


Sagittaire

Tout feu tout flamme, le Sagittaire se sent peut-être un peu plus éteint que d'habitude en ce moment ? Faites le tour de vos proches, de vos fondations, de vos origines, et profitez de cette Nouvelle Lune pour pointer du doigt ce déséquilibre qui vous chagrine. Vous n’êtes pas en contrôle de la situation (et ce n’est vraiment pas grave), mais ce cycle lunaire vous apportera de nouvelles (bonnes) aventures, promis.

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La série Adolescence sera diffusée dans les collèges et lycées britanniques

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Downing Street l’a officiellement annoncé en début de semaine : la mini-série Adolescence, sur toutes les lèvres depuis sa sortie, sera bel et bien diffusée gratuitement dans les collèges et lycées britanniques. Une mesure initiée par le Premier ministre Keir Starmer lui-même, qui avait publiquement pris la parole pour vanter les mérites d’un programme extrêmement bien mené et instructif, soulevant des questions sociétales cruellement d'actualité


Prouesses technique et scénaristique  

Adolescence a beau n’être sortie qu’à la mi-mars, c’est peut-être déjà la meilleure série de l’année. En débarquant sur Netflix, et sans avoir pourtant fait l’objet d’une campagne promotionnelle démesurée, elle a immédiatement reçu un accueil extrêmement favorable de la presse et des spectateur·rices, et ce aux quatre coins du globe. 

Un coup de maître des créateurs, Jack Thorne et Stephen Graham, lesquels sont parvenus à mettre en scène de manière magistrale les causes et conséquences du meurtre de Kathy, adolescente de 13 ans, poignardée à de multiples reprises par Jamie, un camarade de classe du même âge. Le tout en (seulement) quatre épisodes tournés intégralement en plan-séquence, renouvelant ainsi cette technique largement exploitée au cinéma, moins sur le petit écran, autour d’un récit nerveux traitant de thématiques liées à la jeunesse. 


Dénoncer la spirale du masculinisme
 

Ces thématiques, quelles sont-elles ? Le harcèlement scolaire, la construction de genre sur les réseaux sociaux, et notamment la culture "incel", ces hommes involontairement célibataires qui accusent les femmes de les rejeter. Dans Adolescence, en immersion au cœur d’un commissariat, puis d’une école, et enfin d’une maison de famille, on comprend que Jamie (époustouflant Owen Cooper, nouveau prodige du milieu), élevé à la dure, impopulaire, s’est peu à peu enfermé dans la spirale du masculinisme, jusqu’à commettre un féminicide. Une misogynie alimentée par son activité sur Internet, où se créent de nombreuses communautés réactionnaires, séduites par la théorie du 80/20 d’Andrew Tate, selon laquelle 80% des femmes ne seraient attirées que par 20% des hommes. 


De l’ordinateur au Parlement 

Au Royaume-Uni, terre de tournage mais aussi théâtre d’attaques de même nature ces dernières années, Adolescence a connu une résonnance toute particulièrement. Jusqu’à dépasser les frontières de l’écran : la série a ravivé le débat sur l’utilisation des téléphones, mais aussi sur l’éducation, levier essentiel pour déconstruire les idéologies véhiculées sans régulation sur le web. Diffuser Adolescence au palais de Westminster ainsi que dans les collèges et lycées depuis une plateforme partenaire à Netflix, comme l’avaient publiquement encouragé la députée travailliste Anneliese Midgley, puis Keir Starmer, en marque la première étape. 

« C'est une initiative importante pour encourager le plus grand nombre possible d'élèves à regarder le programme », a déclaré le Premier ministre, qui a lui-même vu la série avec ses enfants adolescents, comme 66 millions de personnes en deux semaines sur Netflix. Un record pour une mini-série britannique ! 


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