52d094e0becb9997aa98f9f79e1df2a3

Belgique : à seulement 11 ans, il obtient sa licence en physique

Publié le 7 juillet 2021 à 17h36

Modifié le 8 juillet 2021 à 14h06

par Naomie B

À 4 ans, il entre en maternelle et à 8 ans, il sort du lycée pour commencer sa première année de fac dans une université d’Anvers... Une chose est sûre, Laurent Simons est loin d’avoir un parcours scolaire ordinaire ! Trois ans après l'obtention de son bac, ce jeune prodige obtient son baccalauréat de physique, équivalent d’une licence en France, à peine âgé de 11 ans. 

 
Il entre en master à 11 ans

Originaire d'Oostende, Laurent Simons est un véritable surdoué avec 145 de QI – la moyenne se situant entre 85 et 115. Cette semaine, il a reçu sa licence de physique en décrochant la plus haute distinction, tout en suivant des cours de master au fil de son année… Dès la rentrée, le génie intégrera sa première année de Master et vise le doctorat. 

 
Un objectif bien précis à l’avenir

Un avenir prodigieux attend le jeune tout juste adolescent qui a un objectif bien précis : dans le futur, il aimerait concevoir des organes artificiels pouvant rallonger la durée de vie. Laurent Simons compte bien suivre les pas de ses aînés, tels qu'Albert Einstein ou Stephen Hawking.

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
serge-gainsbourg

Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
Plus d’infos


À LIRE AUSSI