Un comedy club s’installe dans les rames du métro parisien !

undefined undefined 24 septembre 2024 undefined 18h00

undefined undefined 25 septembre 2024 undefined 10h53

Clémence Varène

On le sait, un trajet en transports en commun, ce n’est pas toujours paisible. Entre les pannes, les accidents, les regards un peu lourds et les retards quotidiens, c’est parfois un peu compliqué. Heureusement, trois copains ont eu la bonne idée d’ajouter un peu de légèreté à tout ça, en apportant de la joie et de la bonne humeur jusque dans les rames.


Attention au sourire en descendant du train

Munis d’une grosse enceinte, d'une paire de micros et d’une caméra, Sin, Adrien et Moïse font le tour du métro parisien pour proposer quelques vannes à un public souvent renfrogné. Un défi de taille qui, pourtant, a son petit succès, comme on peut le voir sur les vidéos publiées via le compte Instagram du trio.

Ensemble ou chacun leur tour, ils apportent une petite touche d’humour et de légèreté à des trajets généralement longs, pénibles, qui nous pèsent après une grosse journée de travail. Et, dit comme ça, on se dit que ces mecs-là sont quasiment des héros. Parce que pour dérider un Parisien fâché avec la vie, il faut tout donner.


Le meilleur des entraînements

D’une ligne à l'autre, nos joyeux compères testent leurs blagues, consignées sur des petits carnets. Et la règle est simple, même un simple sourire, c’est une victoire. Grâce à des blagues souvent courtes, ils s'adaptent avec humour aux aléas du métro : de vieilles connaissances qui se croisent, une annonce imprévue, un ralentissement…

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Adrien Audo (@adrien.audo)

À chaque fois, ils testent une nouvelle ligne, appréhendent un nouveau public, et restent dans la rame plus ou moins longtemps, en fonction de la place et de l’accueil. Une manière de ne pas se lasser, de changer de terrain de jeu en permanence. Et au moins, ça apporte des certitudes. Si une blague arrive à dérider une rame entière, alors c’est une certitude, elle marchera partout ailleurs !