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Les gares parisiennes se transforment en foods courts géants pendant 5 jours !

Publié le 23 septembre 2021 à 18h01

Modifié le 23 septembre 2021 à 18h11

par La Rédac'

Chaque année (ou presque), la SNCF nous offre une rentrée sous le signe de la gourmandise avec son évènement Chefs de Gare. Pour sa 8e édition, ce rendez-vous gourmand s'invite dans 30 gares de France pour les transformer en food-court géants où les chefs de renom se succèdent pour proposer des recettes élaborées à partir de spécialités locales. Et par chance, la gare de Lyon Perrache participe à la fête !

Du 11 au 15 octobre, les gares d'Austerlitz, de l'Est, de Lyon et de Saint-Lazare deviendront des grandes halles gourmandes à ciel ouvert. Les festivités seront assurées en présence de chefs reconnus comme Michel Rostang, Michel Roth ou Christian le S'quer. Pour l'occasion, des artisans de la région amèneront leurs produits, leurs foodtrucks et leurs casseroles pour régaler les voyageurs entre deux trains. En parallèle, un grand concours de cuisine national sera organisé pour récompenser les meilleures recettes régionales avec une grande finale le 16 octobre à la Gare de Lyon (de Paris). 

Chefs et écoles de restauration seront aussi réunis pour offrir des dégustations de hautes volées, valoriser la transmission de la gastronomie et réaliser chacun une recette.

Chefs de Gare
11-15 octobre 2021
Gares d'Austerlitz, de l'Est, de Lyon et de Saint-Lazare
Tout le programme ici

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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