Aujourd’hui, un tiers des Français achètent des produits en vrac selon une étude YouGov. Si les cosmétiques et autres produits de ménage vendus en vrac commencent à faire leur place dans le quotidien des Français (doucement, mais sûrement), un nouveau réflexe a fait son apparition en même temps que le coronavirus : le gel hydroalcoolique. Vendu dans des flacons en plastique, il représente une masse de déchets importante.
Pour répondre à cela, l’entreprise Mustela a pris le parti du respect de l’environnement en installant des bornes de distribution de gel hydroalcoolique et de gel lavant (bio, vegan et sans parfum) dans les pharmacies. Le principe ? Des flacons sont mis à disposition près de la borne (sur un système de consigne), et il n’y a plus qu’à se servir. Comptez une quinzaine d’euros pour 500 ml de gel lavant, et 9,30 € pour le gel hydroalcoolique. Un joli geste pour l’environnement.