Après l’annonce du confinement la semaine dernière, un pic saisonnier de pollution aux particules fines s’était fait ressentir pour des raisons totalement indépendantes de l’Homme. Celui-ci, amené par les saisons et la météo, s’est rapidement fait balayer par les vents qui se sont levés pendant le week-end. Résultat : on observe enfin aujourd’hui le résultat du confinement sur la qualité de l’air. Et c’est plutôt sympa.
À Paris, les voitures et motos sont responsables d'un tiers des émissions de particules fines et de deux tiers de la pollution en dioxyde d’azote. Depuis le confinement, la présence du dioxyde d’azote dans l’air a complètement dégringolé, passant de 45 microgrammes par m3 d'air le 18 mars à seulement 8 le 22 mars dernier. Nous voilà 26 points en dessous de la moyenne annuelle… Il a du bon, ce confinement.
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