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Le Lab du bonheur, la boutique de CBD qui met tout le monde d’accord

Publié le 11 mai 2021 à 09h45

Modifié le 27 mai 2021 à 17h51

par Sarah Leris

Pour acheter ton CBD à Paris, une seule adresse à connaître. Ou plutôt trois, car le Lab du Bonheur est une affaire qui roule. La première, ouverte à République il y a trois ans, a donné naissance à deux petites soeurs à Asnières et à Odéon. Et s’il est aussi populaire, ce Lab du Bonheur, c’est pour la qualité de ses produits entièrement dédiés au bien-être : fleurs de CBD, huiles de CBD, infusions, cosmétiques, soins pour le corps… Il y en a pour tout le monde et pour tous les goûts !

D’abord, les fleurs. Importées directement de Suisse, elles sont méticuleusement choisies, testées et approuvées par l’équipe du Lab. Et les 20 salariés sont tous des passionnés, à l’image de Pierre, le fondateur. Tous les autres produits sont sélectionnés avec soin, comme les huiles de CBD full spectrum, un produit très recherché, ou les cosmétiques tels que le Lait Bonheur et L'huile Bonheur pour le corps.

Le petit plus ? La livraison hyper express en 1h30 dans tout Paris avec tout achat sur le site de la boutique. Où que l’on soit, un coursier nous apporte la commande, même le dimanche ! Pour couronner le tout, le Lab du bonheur vient de lancer ses coffrets découverte, cette petite box surprise avec, au choix, une sélection de fleurs avec des filtres ou une sélection d’huiles et d’infusions pour un bien-être maximal. Coup de coeur nocturne pour l'infusion "Bonsoir", une explosion de saveurs tout en douceur pour le palais qui aide réellement à un sommeil de qualité. Datte, pomme, mélisse fenouil, feuilles de framboisier et de verveine camomille, fleurs de houblon, pêche, lavande... qui aurait cru que tous ces ingrédients se mariaient aussi parfaitement au CBD ? Le kiff est ultime.

La dernière adresse, tout juste ouverte à Odéon, est un passage obligé pour tous les aficionados de bien-être : avec son véritable petit labo de chimie, son corner épicerie fine et son comptoir de fleurs de CBD, on est immédiatement immergés dans un lieu ultra ludique, où l’on observe sa fleur au microscope, on apprend sur le chanvre et on lit un bouquin sur le CBD. On craque.

Le Lab du Bonheur
47 rue de Malte — 11e
14 rue de l'ancienne Comédie — 6e
34 rue des Bourguignons — Asnières sur Seine
Plus d’infos
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La série Adolescence sera diffusée dans les collèges et lycées britanniques

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Downing Street l’a officiellement annoncé en début de semaine : la mini-série Adolescence, sur toutes les lèvres depuis sa sortie, sera bel et bien diffusée gratuitement dans les collèges et lycées britanniques. Une mesure initiée par le Premier ministre Keir Starmer lui-même, qui avait publiquement pris la parole pour vanter les mérites d’un programme extrêmement bien mené et instructif, soulevant des questions sociétales cruellement d'actualité


Prouesses technique et scénaristique  

Adolescence a beau n’être sortie qu’à la mi-mars, c’est peut-être déjà la meilleure série de l’année. En débarquant sur Netflix, et sans avoir pourtant fait l’objet d’une campagne promotionnelle démesurée, elle a immédiatement reçu un accueil extrêmement favorable de la presse et des spectateur·rices, et ce aux quatre coins du globe. 

Un coup de maître des créateurs, Jack Thorne et Stephen Graham, lesquels sont parvenus à mettre en scène de manière magistrale les causes et conséquences du meurtre de Kathy, adolescente de 13 ans, poignardée à de multiples reprises par Jamie, un camarade de classe du même âge. Le tout en (seulement) quatre épisodes tournés intégralement en plan-séquence, renouvelant ainsi cette technique largement exploitée au cinéma, moins sur le petit écran, autour d’un récit nerveux traitant de thématiques liées à la jeunesse. 


Dénoncer la spirale du masculinisme
 

Ces thématiques, quelles sont-elles ? Le harcèlement scolaire, la construction de genre sur les réseaux sociaux, et notamment la culture "incel", ces hommes involontairement célibataires qui accusent les femmes de les rejeter. Dans Adolescence, en immersion au cœur d’un commissariat, puis d’une école, et enfin d’une maison de famille, on comprend que Jamie (époustouflant Owen Cooper, nouveau prodige du milieu), élevé à la dure, impopulaire, s’est peu à peu enfermé dans la spirale du masculinisme, jusqu’à commettre un féminicide. Une misogynie alimentée par son activité sur Internet, où se créent de nombreuses communautés réactionnaires, séduites par la théorie du 80/20 d’Andrew Tate, selon laquelle 80% des femmes ne seraient attirées que par 20% des hommes. 


De l’ordinateur au Parlement 

Au Royaume-Uni, terre de tournage mais aussi théâtre d’attaques de même nature ces dernières années, Adolescence a connu une résonnance toute particulièrement. Jusqu’à dépasser les frontières de l’écran : la série a ravivé le débat sur l’utilisation des téléphones, mais aussi sur l’éducation, levier essentiel pour déconstruire les idéologies véhiculées sans régulation sur le web. Diffuser Adolescence au palais de Westminster ainsi que dans les collèges et lycées depuis une plateforme partenaire à Netflix, comme l’avaient publiquement encouragé la députée travailliste Anneliese Midgley, puis Keir Starmer, en marque la première étape. 

« C'est une initiative importante pour encourager le plus grand nombre possible d'élèves à regarder le programme », a déclaré le Premier ministre, qui a lui-même vu la série avec ses enfants adolescents, comme 66 millions de personnes en deux semaines sur Netflix. Un record pour une mini-série britannique ! 


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