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Voici le mouton à nez noir du Valais ou le mouton le plus mignon du monde

Publié le 20 janvier 2021 à 10h15

Modifié le 20 janvier 2021 à 10h17

par La Rédac'

Ok, le mouton blanc est sacrément mignon. Mais connaissez-vous le mouton à nez noir, cet adorable animal originaire du Valais, en Suisse ? On ne les trouve presque que dans cette région car c’est là qu’ils sont élevés. Et quand on voit ces petites boules de poil, on se demande bien comment on peut les manger.

Ce mouton, tout blanc avec la tête noire, est désigné comme le mouton le plus mignon du monde. Avec sa grosse laine, ses taches noires autour des yeux et sur les oreilles et ses petites cornes en spirale, il en fait craquer plus d’un. La race existe depuis les années 1400 et s’adapte à des températures très froides, d’où sa laine très épaisse. Très doux, affectueux et joueur, ils adorent les humains et les enfants et font de bons compagnons de vie, ce qui a incité plusieurs habitants de la région du Valais à en adopter comme animal de compagnie et ainsi les sauver de leur triste sort. Si on avait la place, pour sûr, on serait pas contre.

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Évacuation sous tension à la Gaîté Lyrique : 450 jeunes migrants expulsés

Publié aujourd'hui à 14h00

par Flora Gendrault

Ce mardi matin, dans le froid parisien, la situation était particulièrement tendue aux abords de la Gaîté Lyrique, où manifestations, gaz lacrymogène et coups de matraque se sont mêlés. Peu avant 6 heures, les forces de l'ordre ont procédé à l’évacuation de ce lieu culturel emblématique, occupé depuis plus de trois mois par près de 450 jeunes migrants en quête d’un hébergement.


« La honte » 

Face aux policiers, une centaine de manifestant·es a tenté de s’interposer, scandant « La honte, la honte à ce pouvoir qui fait la guerre aux isolés ! ». Les forces de l’ordre ont répliqué en usant de gaz lacrymogène avant de pénétrer dans les lieux ; une démonstration de force jugée excessive, alors que peu de personnes se trouvaient encore à l’intérieur du bâtiment.

L’opération policière s’est achevée aux alentours de 8h30.  Selon Le Parisien, près de 200 personnes scandalisée par sa violence se sont rassemblées pour exprimer leur solidarité auprès des migrants, une nouvelle fois réprimées et dispersées à coups de matraques, nassage et de gaz lacrymogène. Plusieurs manifestant·es auraient chuté lors d’un mouvement de foule.


Quelles solutions d’hébergement ? 

La veille de l'évacuation, le préfet Laurent Nuñez assurait que des solutions d’hébergement seraient mises en place pour les jeunes migrants et que leur situation administrative ferait l’objet d’un examen attentif. Des agents de la préfecture d’Île-de-France, chargés de l’hébergement d’urgence et reconnaissables à leur chasuble rouge, étaient ainsi sur place ce mardi matin pour échanger avec eux. 

D’après la députée de gauche Danielle Simonnet, interrogée par Le Parisien, la préfecture a proposé de reloger les migrants à Rouen (Seine-Maritime). Une solution qu’elle juge « loin d’être satisfaisante, surtout pour ceux qui ont des procédures en cours à Paris et qui sont scolarisés ici ». La majorité des migrants a ainsi refusé d’embarquer dans les bus à destination, entre autres, de la Normandie. Pour l’instant, donc, l’incertitude demeure, laissant planer le spectre d’une errance forcée pour ces jeunes sans refuge. 


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