Avec ce joli soleil printanier qui inonde les ruelles de la capitale, on aurait envie de passer toutes nos journées dehors. Sauf que voilà… J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise : ce foutu nuage de pollution, bien qu’invisible, flotte toujours au-dessus de nos têtes et nous bousille les poumons. La bonne ? Des chercheurs ont trouvé une solution naturelle pour limiter ses effets !
Et cette solution… C’est les oméga 3 ! Deux études américaines viennent de démontrer que la consommation de ces acides gras réduirait considérablement les conséquences de la pollution sur notre organisme, ainsi que les crises d’asthme. Ils préviendraient et traiteraient notamment les inflammations et le stress oxydatif (agressions des cellules entraînant leur vieillissement) causés par la pollution de l'air.
Une consommation régulière d’oméga 3 permettrait ainsi de réduire de 30 à 50% les dégâts causés par cette pollution. Les médecins conseillent d’en consommer 2,2 g pour les femmes et 2,4 g pour les hommes, par jour. Or en moyenne, on en consomme à peine 0,4 g.
Mais alors où trouver ce petit miracle, qui jouerait aussi le rôle d’anti-dépresseur, de protecteur de notre cœur, de notre système hormonal, inflammatoire, cérébral, et j’en passe ? Eh bien dans plusieurs aliments du quotidien. Sous leur forme végétale, les oméga 3 sont présents dans les huiles de lin, de canola, de soya… et dans les graines (lin, chia, chanvre, noix de Grenoble…).
Mais la plus grande source d’oméga 3 reste le poisson, avec en tête la tant redoutée huile de foie de morue. A savoir qu’elle existe aujourd’hui en gélules inodores, à prendre 1 à 3 fois par jour pour éviter les surdosages. Ce serait dommage d’en inverser les effets. Maintenant que vous avez tous les oméga en main, à vous les terrasses !
Sources : The Guardian, TopSanté