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Un voyage à ne pas manquer avec Venise n'est pas en Italie au Théâtre Lepic

Publié le 13 septembre 2019 à 11h27

Modifié le 20 septembre 2019 à 16h06

par Laetitia Fremaux

Adaptée de son propre roman, Ivan Calberac met en scène Venise n’est pas en Italie pour nous faire voyager entre humour et émotion au Théâtre Lepic à partir du 21 septembre 2019.


L’histoire

C’est l’histoire d’Émile, un adolescent de quinze ans, et de sa famille. Un peu hors norme, celle-ci se compose d’une mère envahissante qui lui teint les cheveux parce qu'il est mieux comme ça, et d'un père imprévisible qui peut passer de douceur à folie en un claquement de doigts. 

Quand son premier amour l’invite à passer les vacances avec elle à Venise et à s’éloigner un peu de ses parents, Émile est fou de joie et voit la liberté lui tendre les bras ! Mais c’est sans compter sur sa famille, qui décide de l’accompagner en caravane pour un voyage plein de péripéties. 

C’est alors le début d’un voyage aussi rocambolesque qu’inattendu où se mêlent amour d’adolescents et histoires de famille.

Venise n'est pas en Italie


Pourquoi s'embarquer dans ce voyage ? 
 

Pour cette aventure, c’est Garlan le Matrelot qui, seul sur scène, assume tous les rôles. C’est avec l’aide de la musique, d’une ambiance lumineuse, d’un simple accessoire ou d'un élément du décor que l’acteur nous fait voyager avec lui.

Au travers de 80 décors, on nous entraine alors dans des univers aussi variés qu’insolites, accompagnés de cette famille qui nous donne presque l’impression d’y retrouver la nôtre et de revivre notre adolescence mouvementée.

Créée à l’occasion du Festival OFF 2016 et déjà primée, Venise n'est pas en Italie s’annonce déjà comme la pièce à ne pas manquer de cette rentée 2019.


Venise n’est pas en Italie
Théâtre Lepic
1, avenue Junot – 18e
Du 21 septembre au 15 decembre 2019
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Publié aujourd'hui à 13h00

par Clémence Varène

Chaque année, différents éléments annoncent le retour du printemps dans Paris. Les oiseaux qui chantent, les arbres qui fleurissent, les open-air qui se multiplient, ou encore et surtout les terrasses éphémères qui investissent en quelques jours les moindres recoins de trottoirs de Paname. Et 2025 ne fait pas exception, puisque ces dernières seront de retour dans moins de 15 jours. Une excellente nouvelle, qui reste cependant soumise à certaines restrictions.


7 mois de bonheur

Nous y sommes presque, le compte à rebours est lancé, et le 1er avril prochain, tous les bars et restaurants qui disposent d’une autorisation délivrée par leur mairie d’arrondissement pourront doubler leur nombre de chaises et de tables pour accueillir tous les Parisiens en quête du moindre rayon de soleil. L’occasion de faire le plein de vitamine D et de commencer à recharger les batteries après un hiver légèrement gris et morose.

Dans deux semaines à peine, les restaurateurs pourront se lancer dans la mise en place de ces espaces supplémentaires, qui ont vu le jour juste après la crise du Covid, et ce jusqu’au 31 octobre prochain. 7 mois de travail intense pour eux, avec des services sans doute plus sportifs, 7 mois de plaisir pour nous, avec des verres qui trinquent à gogo et des éclats de rire à chaque coin de rue.


Des règles renforcées

Cependant, depuis quelques mois, ces fameuses terrasses éphémères, bien qu’attendues comme le Messie par la plupart d’entre nous, posent de plus en plus question, en particulier à cause des nuisances provoquées pour les riverains. Comme chaque année, ces espaces ne seront ouverts que jusqu’à 22h et sur des emplacements bien spécifiques. Mais en 2025, les commerçants devront également respecter une cohérence esthétique entre cette annexe et l'environnement de leur établissement.

Pas de chauffage, d’éclairage, de palettes de bois, de plantes trop hautes, de tentes, les règles se succèdent, et une chose est sûre, face au nombre de plaintes de plus en plus important, les contrôles et les sanctions qui vont avec risquent bien d’être renforcés dans les prochains mois. Heureusement, même si ces restrictions sont des contraintes en plus pour les gérants des différentes adresses, nous, simples clients, n’aurons qu’à profiter comme il se doit de ce petit coin en plus !


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