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Les 8 nouveaux restos qu’on a le plus hâte de tester en 2024

Publié le 3 janvier 2024 à 16h34

Modifié le 16 janvier 2024 à 15h54

par Clémence Varène


1. Hanabi : un bar restaurant japonais au cœur d’un palace parisien

C’est l’Hôtel Hana, tout juste ouvert fin 2023, qui s’apprête à nous dévoiler son restaurant venu tout droit du Japon. De la cuisine ouverte sortiront des plats aussi beaux que bons à en croire la réputation des deux chefs, Shirley Garrier et Mathieu Zouhairi, le duo derrière The Social Food. Entre les œufs mayo au sésame blanc et le chirashi végétarien, on a déjà beaucoup trop faim.

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Hanabi
Hôtel Hana
17, rue du 4 septembre – 2e
Ouverture en janvier 2024


2. Qasti Green : la nouvelle table libanaise végétarienne

Après Bistrot, Shawarma et Pâtisserie, voici Green, le petit nouveau de la famille Qasti, géré par le chef Alan Geaam. On y retrouvera tous les incontournables de la cuisine libanaise déclinés grâce au végétal. Légumes, fromages et épices en tous genres deviennent les stars de cet établissement assez cocassement situé rue des Jeûneurs. Rendez-vous d’ici quelques semaines pour déguster les shawarma au céleri.

Qasti Green
41, rue des Jeûneurs – 2e
Ouverture en janvier 2024


3. Kiss : la street-food ensoleillée venue de Californie

Aller simple pour la Californie grâce au chef Matthias Gloppe, qui nous avait déjà fait voyager à Los Angeles avec son autre adresse Echo. Au programme, une carte de sandwichs pour l’instant uniquement consommables à LA. Pain au levain, salami, pickles en tout genre, cheddar, on retrouve tous les incontournables de la street food américaine. Et vous pourrez même y trouver des breakfast sandwiches, histoire de se mettre en joie avant d’aller au travail le matin.

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Kiss
55, rue du Faubourg-Poissonnière – 9e
Ouverture en janvier 2024


4. Minore : le bar à cocktails nippon

Le chef japonais Katsuaki Okiyama s’associe au mixologue Hugo Combe pour nous faire plaisir de toutes les manières possibles. 22 places à table, 12 places au bar pour ce nouveau lieu qui risque de devenir bien vite le repaire des amoureux de la cuisine japonaise. Les deux acolytes nous régaleront avec des accords mets et cocktails originaux qui nous feront voyager.

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Minore
4, avenue Trudaine – 9e
Ouverture en février 2024


5. Public House : la nouvelle brasserie anglaise 5 stars de Paris

« The Pie King », aka Calum Franklin, débarque dans la capitale avec dans sa valise toutes ses spécialités les plus british. Comme son surnom l’indique, il prévoit de nous régaler grâce à ses meilleures tourtes, sublimées par des produits français, et dont les recettes se déclinent à l’infini selon les saisons et les envies du chef. Le tout dans une ambiance hyper chaleureuse et typique de pub anglais, toute de cuir et de tartan. Nice.

Public House
21, rue Daunou – 2e
Ouverture en février 2024


6. Jay’s Pizza : la plus américaine des pizzas arrive à Paris

Deux amoureux de la cuisine italo-new-yorkaise se réunissent ici pour nous offrir d’authentiques pizzas de la Big Apple, qui feraient pâlir d’envie notre célèbre Joey Tribbiani. 4 recettes (dont les traditionnelles cheese et pepperoni) se dégustent en slices immenses, dans une ambiance très 90's qui nous plonge directement aux États-Unis. L’endroit idéal si jamais vous avez une passion pour les Tortues Ninja, par exemple.

Jay’s Pizza
20, rue de Mazagran – 10e
Ouverture en janvier 2024


7. Mojju : la table coréenne bistronomique

Découvert il y a maintenant 10 ans dans Top Chef (et ça ne nous rajeunit pas), Thibault Sombardier ouvre son nouveau restaurant au sein duquel il allie sa passion pour la cuisine coréenne et sa légère obsession pour les bistrots. Pour l’instant le projet reste encore très mystérieux puisque l’on ne sait pas grand-chose, ni du contenu de la carte, ni de la décoration du restaurant, si ce n’est que celle-ci sera signée par les décorateurs de la Nouvelle Garde, Dorénavant Studio. Ça annonce déjà quelque chose de sympa.

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Mojju
4, rue de l'Exposition – 7e
Ouverture en janvier 2024


8. Halo : le restaurant secret caché dans un concept store

Victor Blanchet, autre ancien candidat de Top Chef, s’apprête à prendre les rênes d’Halo, restaurant caché à l’arrière d’un concept store mode et design. Il y proposera une cuisine aux influences basques et méditerranéennes, qui changera au gré des événements et artisans accueillis dans le magasin. Un lieu hybride qui nous intrigue autant par son concept étonnant que par le mystère qui plane encore autour de lui.

Halo
12, rue Saint-Sauveur – 2e
Ouverture en février 2024

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serge-gainsbourg

Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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