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6 adresses où savourer une bonne soupe à l'oignon à Paris

Publié le 19 janvier 2024 à 10h05

Modifié le 22 janvier 2024 à 09h52

par Zoé Stene

© Le Bistrot des Vosges / Patrick Colpron

La légende prétend que c'est avec les trois ingrédients qui lui restaient dans son garde-manger, que Louis XV inventa la soupe à l'oignon. Aujourd'hui, ce plat doit son incroyable succès à son pouvoir de guérison ! Eh oui, tout noctambule qui se respecte sait que ce bouillon de bœuf à l'oignon parsemé de croûtons et gratiné, est un excellent remède après une soirée arrosée. Un fêtard averti en vaut deux !


Le Terminus Nord

Elle nous réchauffe le cœur dès que les températures baissent, et on apprécie encore plus la savourer dans cette institution typiquement parisienne qu'est le Terminus Nord depuis 1925. Depuis sa réouverture, elle croustille encore plus de fromage gratiné, elle dégouline encore plus de fromage fondu, et elle fond sous la dent avec des oignons savoureux et un assaisonnement parfait. 

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Terminus Nord
23, rue de Dunkerque — 10e


Le Marché 

Que l'on mange bien sur la charmante place du Marché Sainte-Catherine ! Mais pour la soupe à l'oignon, il est un lieu particulièrement chaleureux qui respecte les traditions. Il suffit de se trouver une petite table sur la terrasse chauffée du Marché pour déguster cette version savoureuse d'un des plats les plus réconfortants de la cuisine frenchie.

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Le Marché
2, place du Marché-Sainte-Catherine – 4e


Au pied de cochon

Véritable institution parisienne, Le pied de cochon n'est pas seulement le cliché du resto touristique, c'est réellement une bonne table à la cuisine généreuse et goûteuse. D'ailleurs, leur soupe à l'oignon gratinée est un best seller : dorée au four et parfaitement assaisonnée, elle est à tomber ! Ouvert 24h sur 24, 7 jours sur 7 pour les passionnés...

Au pied de cochon
6, rue Coquillière – 1er


Au Rocher de Cancale

La rue Montorgeuil. Été comme hiver elle est toujours animée et on adore sa vie de quartier. Pour la soupe à l'oignon, notre petit coup de cœur se trouve au n°78. Patron adorable, couche de fromage XXL, et service impeccable, on adore la savourer en regardant les gens passer.

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Au Rocher de Cancale
78, rue Montorgeuil – 2e


Bistrot des Vosges

À deux pas de la place des Vosges, la réputation de cette brasserie aveyronnaise n'est plus à faire : on dit que c'est tout simplement l'une des meilleures soupes à l'oignon de Paris.

Bistrot des Vosges
31, boulevard Beaumarchais – 4e


Le Bouillon Pigalle

le Bouillon Pigalle renaissait de ses cendres il y a un an maintenant en remettant à l'honneur une restauration de tradition. Une soupe à l'oignon sans chichi, comme à la maison et à prix mini (3,80€). Que demande le peuple ?

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Le Bouillon Pigalle
22, boulevard de Clichy – 18e

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serge-gainsbourg

Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

© Serge Gainsbourg (À bouts portants) - INA

En l’honneur du 97e anniversaire de la naissance de Serge Gainsbourg, un cycle de projections cinématographiques va être lancé dans son ancienne maison transformée en musée depuis 2023. 

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
Plus d’infos


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