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10 astuces pour se sentir riche (même à la fin du mois)

Publié le 31 août 2016 à 00h00

Modifié le 1 septembre 2016 à 18h16

par Laura

Paris, la vie, TMTC. Après un café à 15,20€ et un loyer qui pourrait t’acheter la maison du Président ouzbek (bientôt de retour sur le marché d’ailleurs, à bon entendeur…), il ne te reste plus grand-chose pour pimper ta life. Mais ça, c’est sans compter sur le Bonbon et l’amour indéfectible qu’il te porte. Souris : voilà nos 10 astuces pour se sentir plus riche que la plus riche de tes copines.


Shopper des pièces de marques fancy en seconde main

« Ma chériiiiie, pour être manifaïk il te faut des belles pièces, c’est un basique de la mode ! » Sur ce coup, notre CC do Brasil n’a pas vraiment tort… Mieux vaut avoir peu de vêtements bien coupés et de qualité, qu’un tas de fripes qu’on ne sait plus comment assortir.

Alors pour shopper de jolis basiques sans exploser son budget, on court dans les boutiques de seconde main comme l’adorable Cloakroom d’Audrey, ou dans les repères vintage autour de l’Hôtel de Ville.


Se faire livrer de l’alcool

Minuit, sur les quais. Ta petite soirée improvisée prend des airs de "jusqu’au bout de la nuit", et tu te verrais bien l’accompagner d’une nouvelle tournée. Problème : les bouteilles sont vides, tout est fermé, et tu n’es pas vraiment tenté par l’option épicerie de nuit… Fais-toi livrer !

En trois clics sur l’application KOL, tu commandes alcool, tire-bouchon, citron, soft... Et quinze minutes plus tard, un serveur-livreur en tablier de vigneron t’apporte un joli paquet à vélo. C’est lourd, ça sent la fête jusqu’au petit matin, et c’est pas plus cher qu’en supermarché. Sauf que t’as la classe.


Payer 1€ de plus pour être en première classe

Si la SNCF adore nous fait raquer pour le moindre Paris-Vesoul, elle nous réserve parfois quelques surprises (qu’il faut savoir dénicher). Comme par exemple, le surclassement pour 1€ supplémentaire, à repérer dans les petites cases "1ère classe" à côté de ta demande initiale. Prise électrique, lampe perso et fauteuils moelleux, te voilà tel le CEO d’une multinationale en voyage vers l’autre bout de l’Europe (même si en fait, tu t’arrêtes à Vesoul).


Troquer sa serviette de bain contre un peignoir

Tu vas sûrement te dire que c’est un détail, mais fais le test et tu verras de quoi je parle. En peignoir, on a tout de suite l’impression de séjourner dans un palace, et de rejoindre le club très fermé des Dominique Strauss Khan Stéphane Berne. Mieux : imagine que tu invites quelqu’un chez toi. « T’aurais une serviette à me prêter ? – Déso, j’ai que des peignoirs. ». Boum.

Tu veux pousser le truc jusqu’au bout ? Verse ton gel douche et ton shampooing dans des mini-flacons. C’est chiant, mais ça prolonge les vacances comme jamais.


Adopter un chihuahua

Non j’rigole.

 


Transformer son appart en show-room

Pour 1€ avec l’application Igloo, tu peux essayer chez toi les vêtements d’une vingtaine de marques parisiennes, sans en avancer le moindre centime aux boutiques ! La bonne idée : inviter tes meilleures copines (désolée, le service n’est pas encore dispo pour les mecs), et la jouer Pretty Woman à domicile. Ai-je oublié de préciser que ta commande est livrée avec une jolie rose, par un gentleman en costume, et jusqu’à 23h ?

 


Boire n’importe quelle boisson dans un immense verre à pied

Oui, même ton infusion à la camomille. Ta main va tout de suite s’adapter à ce contenant spécial grandes occasions, et te donner une allure folle. Mais attention à respecter l’art des bonnes manières : pour faire tournoyer ta tisane comme si tu dégustais un Château Angelus, il faut tenir ton verre juste au-dessous du bouton (soit la jonction entre la tige et le contenant). Evidemment, ce kiff perso marche encore mieux avec un petit Côtes-du-Rhône des familles et du Frank Sinatra en fond sonore.


Se faire livrer ses repas

Toc toc toc : « Room service ! ». Bon, là on rêve un peu mais quand même, c’est l’impression que ça donne. Déguster la cuisine d’un chef sans avoir besoin de quitter son peignoir, c’est assez jouissif. Surtout, n’oublie pas de porter ladite tenue en ouvrant au livreur, auquel tu glisseras une petite pièce sur un « Merci mon brave ». C’est moche… mais qu'est-ce que c’est bon !

 


Prendre un Heetch

« Tu rentres comment toi ? – Oh j’ai mon chauffeur. ». Bon ok, c’est pas TON chauffeur, mais c’est un peu l’idée. Il vient te chercher où tu veux avec sa berline noire. Il t’ouvre la porte. Il t’offre à boire et choisit toujours tes bonbons préférés. Et surtout il ne t’agresse pas avec un « Elle va où la p'tite dame ? ». Non, ton chauffeur sait où tu habites. Et tout ça, beaucoup moins cher qu’un taxi.


Acheter de la marque au Dia

Passer à la caisse d’un discount avec du Fleury Michon, La Laitière, Carte Noire, ou Bordeau Chesnel, c’est ridicule mais tellement jouissif. Au moment de payer à côté des autres caddies, t’es celui qui joue dans une autre catégorie. Avec un peu de chance, la caissière va même te prendre pour un Dj célèbre, « mais si Roger tu sais, celui qui porte toujours un casque là ». Tu veux pousser le truc ? Amuse-toi à rejouer la scène de La Connasse en visite royale à la pharmacie.

 

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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