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8 photos vintages qui montrent comment la technologie a changé nos métiers

Publié le 30 octobre 2018 à 18h32

Modifié le 31 octobre 2018 à 17h45

par Morgane Espagnet

C’est un fait : la technologie a totalement révolutionné notre manière de travailler. Si de nombreux métiers ont été supprimés par l’arrivée de nouvelles technologies, d’autres, au contraire, ont évolué et se sont radicalement transformés.


1. Architecte

Il y a plus de 20 ans, les architectes et ingénieurs dessinaient les tracés de bâtiments sur une immense feuille de papier avec de simples crayons. Il fallait donc collaborer avec des dizaines de collègues pour s’assurer de la cohérence des projets. Désormais, les logiciels de dessin permettent de dessiner facilement et rapidement des plans, sans s’encombrer de centaines de feuilles de papier.

©vintag.es

2. Couturier

Les couturiers ont vécu une profonde transformation avec l’apparition des machines de couture. Ils devaient ouvrer jour et nuit pour confectionner des centaines de vêtements à partir de tissus pour la plupart difficiles à coudre. Les nouvelles technologies permettent donc de préparer les tissus et de les coudre en un temps record. 

©Les ateliers de confection


3. Journaliste

Eh oui, qui dit nouvelles technologies dit évolution des métiers liés à la communication. Forcément, plus besoin de se déplacer sur le terrain pour obtenir des informations. Les journalistes passent dorénavant leurs journées au bureau à surfer sur Internet pour être au courant de toutes les nouveautés. Idem pour tous les métiers de bureau. On citera donc les comptables, standardistes, secrétaires, opérateurs etc.

©vintagenewsroom

4. Inspecteur

Difficile de résoudre une enquête quand on ne dispose pas de toutes les informations nécessaires. Une fois de plus, les nouvelles technologies permettent de mettre en lien des informations et donc de résoudre des enquêtes. Vous pouvez désormais analyser un cheveu de scène de crime, une empreinte et même retrouver un individu parmi des fichiers enregistrés. Ces technologies ont permis de résoudre de nombreuses enquêtes et d’arrêter les plus grands criminels du monde. Incroyable non ?

©Lenqueteurauprenomimpossible


5. Chirurgien

Parce qu'à l’époque, ils amputaient les patients à l’aide de scies, l’informatique est le bienvenu dans le domaine de la médecine. Vous pouvez réaliser des opérations incroyables grâce à des mini-caméras et outillages technologiques. Les prothèses en bois ont elles aussi bien évolué, laissant place à des prothèses bioniques. Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité.

©vintag.es


6. Tatoueur

Avis aux passionnés de tatouages ! Vous pensiez que les tattoos ne subissaient pas l’évolution de l’informatique ? Détrompez-vous. Sachez camarades, que les anciens tatouages étaient réalisés à partir d’un marteau, d’aiguilles et d’encre de Chine. On est bien loin de l’imprimante thermique et de la machine rotative

©halola

7. Photographe

C’était en 1833, la photographie en était à ses prémices et il fallait payer 400 francs or (soit 8000€ aujourd'hui) pour s’amuser à photographier à cette époque. Aujourd’hui, vous pouvez prendre des photos et selfies avec votre téléphone ou votre appareil photo. L’image est disponible immédiatement et peut être mise en ligne en quelques secondes seulement. R.I.P les appareils jetables et les photos à faire développer…

©fpop


8. Graphiste

Imaginez l’utilisation de la colle et du papier pour ctrl C + ctrl V une photo ? Difficile. Alors imaginez le métier de graphiste avant l’arrivée d’Internet, des ordinateurs, de Photoshop et des imprimantes… Au milieu des années 90, il n’existait toujours pas de mails ou de moyens faciles pour faire approuver ses créations à un client. Il fallait donc soit le rencontrer, lui montrer en personne, lui faxer ou bien envoyer la proposition par coursier… On vous laisse choisir la solution la plus simple et rapide.

©vintag.es
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La plus grande station de métro du monde se trouve à Paris !

Publié aujourd'hui à 09h30

par Clémence Varène

On le sait, le métro parisien est souvent adepte des records. Entre la 13, élue parmi les pires lignes du monde, la gare du Nord qui enregistre le plus de trafic chaque jour en Europe, ou encore l’odeur de certaines stations désignée unanimement par la rédac pire parfum de l’univers, on ne compte plus ces accomplissements, qui font toute la grandeur (ou pas) du métro parisien. Et pour compléter la liste, saviez-vous que la capitale comptait également la plus grande station du monde ? Mais alors, gare du Nord, Auber, Châtelet-les-Halles ou Montparnasse, qui est l’heureuse élue ?


Des kilomètres de couloirs

N’importe quel Parisien qui se respecte le sait, dans la capitale, il y a des changements qu’on préfère fuir comme la peste. Passer de la gare de Lyon à la gare d’Austerlitz par l'extérieur, rejoindre Saint-Augustin quand on arrive d’Opéra (soit dit en passant, le plus long changement de la Ville Lumière) ou, encore pire que tout, devoir transitionner à Châtelet. Car cette station, c’est un peu la bête noire de Paris, et il faut dire que ce n’est pas pour rien, puisqu’il s’agit tout simplement de la plus grande gare souterraine du monde !

Un avant-goût de l’enfer, qui se traduit souvent par des minutes entières à contempler des panneaux pour essayer de trouver la bonne direction. Même chose, ne jamais, je dis bien jamais y donner rendez-vous à des potes, sauf si vous avez déjà vos petites habitudes, sinon c’est parti pour des heures de « t’as pris quelle sortie ? », ou « je suis du côté du forum, je trouve pas le chemin vers la 7 », bref, un escape game en moins fun. Nous, généralement, dans ces cas-là, on s'assoit par terre, on pleure et on attend que notre maman vienne nous chercher.


Un florilège de chiffres

Il faut dire que cette station peu commode se compose en fait de 3 gares distinctes : Châtelet au nord, Les Halles au sud et Châtelet-les-Halles, qui s’étend sur des kilomètres en dessous. On y compte 5 stations de métro (dont 2 arrêts pour la 4) et 3 de RER, pour un total de 1 500 trains — soit environ 120 par heure, et 1 toutes les deux secondes — répartis sur 7 quais. L’espace, qui s’étend sur 315 mètres de longueur et 60 de largeur, compte pas moins de 19 sorties réparties en 3 zones : Forum, Seine et Rivoli.

Et on vous passera les escalators interminables, qui semblent ne jamais devoir se terminer si vous entreprenez par exemple le périlleux périple d’aller du RER B à la ligne 11 du métro. Si c’est votre cas, on espère que vous avez 2 ou 3 podcasts ou un exemplaire de Belle du Seigneur sous le bras histoire de passer le temps. Un conseil, si vous avez le choix, passez votre chemin et effectuez vos correspondances à un autre endroit, ça vous fera gagner du temps…


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