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DIY : 5 façons d’ouvrir une bouteille sans tire-bouchon

Publié le 14 janvier 2019 à 17h17

Modifié le 14 janvier 2019 à 17h59

par Morgane Espagnet

Jeudi soir. Vous avez acheté une bouteille de Monbazillac (chacun ses goûts, on ne juge personne) pour accompagner votre planche de charcut’ mais voilà… vous n’avez pas de tire-bouchon et vos voisins ne répondent pas à vos appels de détresse. Il ne vous reste qu’une seule chose à faire : lire notre article bien sûr !

Alerte : ce message est destiné aux personnes réalisant le Dry January. Veuillez ne pas lire cet article et passer votre chemin.

1. La clé

Ici la manip’ est simple. Il suffit de planter la clé en diagonale dans le bouchon et de tirer en tournant légèrement la bouteille sur elle-même, un peu comme avec un tire-bouchon. Et hop, le tour est joué !


2. La chaussure

Positionnez la bouteille dans une chaussure plate, culot au niveau du talon. Tapez la chaussure contre une surface dure, un mur fera largement l’affaire ! Attention tout de même, cette technique demande un minimum d’entrainement pour ne pas casser la bouteille lors de l’ouverture. Notre conseil : tapez plusieurs fois mais doucement pour être sûr d’éjecter le bouchon sans détruire la bouteille. De rien.

Possible également avec un pull ou un tissu.



3. Le briquet

Chauffez le goulot de la bouteille avec un briquet, juste sous le bouchon. La chaleur le fera progressivement sortir de la bouteille, jusqu’à le retirer à la main. Un seul mot d’ordre : patience.


4. Le stylo

Certainement la plus facile, il vous suffit de prendre un objet suffisamment résistant (un mascara, une clé ou un rouge à lèvres) et d’appuyer sur le bouchon pour le faire rentrer dans la bouteille. Méfiance : vous risquez de recevoir du vin au moment où le bouchon tombera dans la bouteille, faites-le au dessus d’un évier !


5. Le trombone

Formez un crochet avec le trombone et faites-le glisser entre le bouchon et le verre, jusqu’à ce que votre crochet soit au-dessous du bouchon. Tirez doucement pour ne pas déplier le trombone. Il ne vous reste plus qu’à déguster un bon verre. Miam.

On en connaît un.e qui va bien s’amuser !

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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