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Top 15 des pires prénoms jamais donnés

undefined undefined 16 novembre 2016 undefined 00h00

undefined undefined 8 décembre 2016 undefined 17h35

La Rédac'

Depuis 1993, l’officier d’état civil ne peut plus refuser d’y inscrire un prénom. Résultat : on s'est engouffré dans la brèche et on enrichit chaque jour les carnets de naissance de nos inventions et autres libertés orthographiques. L'Anti-guide des prénoms à recensé près de 1 000 prénoms tous plus étonnants les uns que les autres. Loverziano, Boghosse ou Stedywan ? Kissmy, Djustyne ou Anisette ? La course à l’originalité est sans limite ! Voici une sélection des 10 pires prénoms de tous les temps.


1) Merdive

"Pour se sentir toujours au top."

2) Aziäline

"Prénom que l'on peut retrouver dans toutes les pharmacies, en comprimés effervescents ou en gélules. Ne convient pas aux enfants de moins de 18 ans."

3) Dior Gnagna

"Dior Gnagna est une alliance entre la maison de luxe parisienne et un prénom traditionnel sénégalais."

4) Boghosse

En espérant que la nature fasse mieux son boulot que ses parents.

5) Euthanasia

"Euthanasia est un modèle unique. Elle porte le nom d'un acte médical provoquant la mort d'un patient incurable".

6) Link

Enfin un gosse connecté.
 
7) Jalilaparaense

Encore un coup de parents qui n'aiment pas les profs. Ni Starbucks. Imprononçable.

8) Yalguuntugs

Même principe. Même résultat. Pourvu qu'elles/ils ne soient pas dans la même classe. 

9) Retcharles

"Est-il nécessaire de préciser à quel artiste américain ce prénom rend hommage ?"

10) Taufoou

"L'abus de tofu est visiblement dangereux pour la santé."

11) Jiscadestin 

Un bel hommage au président. Pas à l'orthographe. 

13) Alkapone

Même combat. 

12) Jean-Bryan

On aurait préféré Kevin-Bryan tant qu'à rire. 

14) Jahlove

Peace, bébé.

15) Koeurtina

Il lui faudra un (très) grand "koeur" pour vous pardonner un jour.


Bonus :

Zizi

"Il existe certaines règles de la bienséance qu'il est préférable de ne pas enfreindre. Appeler sa fille Zizi, par exemple, est peu conseillé. Elle va en entendre des blagues vaseuses...". C'était aussi le surnom que me donnait mon grand-père qui trouvait mon prénom trop compliqué. Voilà, mon coming out est fait.