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Notre sélection des meilleurs bouquins à offrir pour Noël

Publié le 19 décembre 2018 à 16h49

Modifié le 20 décembre 2018 à 18h47

par Zoé Stene

Qu'est-ce que c'est cool de recevoir un bon bouquin ! Ils nous font voyager, pleurer, réfléchir ou nous donnent de bonnes idées. Ça tombe bien, cette année 2018 a été marquée par de grands crus. Suivez nos recommandations, à la rédac' du Bonbon, on vous a déniché les meilleurs bouquins de l'année !


Food and drinks infographics

Pour les gastronomes, les gourmands, les gastrolâtres, les mordus, les becs fins, les fines bouches... Voilà un gastro guide comprenant toutes les meilleures infographies culinaires, une petite Bible explorant notre représentation visuelle des plaisirs de la table au fil du temps. Un bijou.

Food and drinks infographics
Taschen
50 €


21 leçons pour le XXIe siècle 

L'auteur de Sapiens et de Homo Deus nous offre une nouvelle fois un ouvrage clair et intelligent. Ce troisème opus nous confronte aux grands enjeux mondiaux contemporains et nous apporte des pistes de réflexions utiles. Un grand livre.

21 leçons pour le XXIe siècle
23 €


Appelez-moi Nathan

Bye bye les préjugés sur la transexualité, cette BD raconte avec justesse les souffrances de Nathan, 16 ans, né Lila. Une histoire émouvante et instructive sur la volonté indéfectible d'être soi-même.

Appelez-moi Nathan
16,50 €


L'art subtil de s'en foutre

Et si on décidait de s'en foutre ? Une sagesse pratique et joyeusement insolente consistant à envoyer balader le discours ambiant qui nous pousse à nous améliorer : « Soyons honnêtes : parfois tout va de travers, et il faut faire avec. ». Un livre de développement personnel parfait pour ceux qui détestent le développement personnel. Oh yeah !

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L'art subtil de s'en foutre
14,90 €


The Tattoorialist : le voyage dans la peau 

Le Voyage dans la peau signe le 4e et dernier ouvrage de The Tatoorialist. Il raconte l'Histoire du tatouage à travers le prisme des villes dans lesquelles Nicolas Brulez et Mylène Ebrard sont passés, des villes qui « représentent à merveille différentes façons de vivre et d'aimer le tatouage à travers le monde ».

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The Tattoorialist, le voyage dans la peau
39 €


Ça raconte Sarah

La narratrice tombe sous le charme de Sarah rencontrée au hasard d'une soirée. Sa vie en sera à jamais bouleversée. Poignant, foudroyant, virvoltant, renversant, l'amour a rarement été aussi bien conté. On est transporté dans cette aventure grâce à Pauline Delabroy-Allard, une toute jeune plume, percutante et enflammée.

Ça raconte Sarah
15 €


Fête Végétale by Alain Ducasse

Oui, on peut se faire très plaisir en savourant des plats entièrement végétariens. Alain Ducasse nous le prouve grâce à ce joli livre de recettes végétales, divisé en 4 parties correspondant aux 4 saisons. Alléchant.

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Fête Végétale
35 €


The Ultimate Sneaker Book

650 pages de folie avec photos inédites et anecdotes incensées. Il s'agit d'une anthologie démeusurée sur la basket qui nous a totalement fait craquer !

The Ultimate Sneaker Book
Taschen
40 €


Le Tout va bien 2018

Un classique faisant le topo de l'année qui vient de s'écouler à travers les titres de presse les plus improbables, « histoire de rappeler que le monde ne se résume pas aux grands drames et que l'espèce humaine, somme toute, demeure étonnante. ». Un portrait sarcastique d’une société absurde, drôle et sensible.

Tout va bien 2018
9€


La révolution féministe : la lutte pour la libération des femmes 1966 - 1988

Le féminisme a révolutionné le monde. Sans effusion de sang, ni lutte armée, mais non sans douleur. Encore inachevée, elle a, pour autant, déjà changé l'avenir du monde pour toujours. L'ouvrage se penche sur l'essor de cette révolution dans les années 60 et retrace ses combats passionnés et ses nombreuses avancées.

La révolution féministe : La lutte pour la libération des femmes 1966 - 1988
34,95 €

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié aujourd'hui à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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