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Voici les 10 prénoms féminins et masculins les plus infidèles, selon une étude

Publié le 30 novembre 2022 à 11h22

Modifié le 30 novembre 2022 à 14h37

par Nicolas Cogoni

Ne vous en faites pas, nous ne sommes pas là pour juger si l’infidélité c’est bien ou pas. Gleeden, la célèbre application de rencontres extra-conjugales, a sorti une étude qui recense les prénoms des personnes les plus infidèles en France en se basant sur les données de ses utilisateurs. Pour obtenir ce résultat, l’application a réalisé un sondage en ligne auprès de 4 309 femmes et 4 326 hommes d’origine française. Ces personnes ont toutes affirmé avoir été infidèles au cours des 12 derniers mois. Alors même si le nom de votre conjoint.e. apparaît dans ce classement, cela ne veut pas forcément dire que vous êtes cocu jusqu'à la moelle... Respirez.

1. Patrick

2. Hélène

3. Stéphane

4. Julie

5. François

Comme vous voulez (toujours) en savoir un peu plus, voici le top 10 des prénoms masculins les plus infidèles sur Gleeden :

1. Patrick

2. Stéphane

3. François

4. Pierre

5. Thomas

6. Alexandre

7. Geoffrey

8. Matthieu

9. Didier

10. Maxime

Et bien évidemment, on termine ce beau classement par un top 10 des prénoms féminins les plus infidèles sur Gleeden :

1. Hélène

2. Julie

3. Anne

4. Catherine

5. Isabelle

6. Christelle

7. Alice

8. Juliette

9. Vanessa

10. Clémence

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La série Adolescence sera diffusée dans les collèges et lycées britanniques

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Downing Street l’a officiellement annoncé en début de semaine : la mini-série Adolescence, sur toutes les lèvres depuis sa sortie, sera bel et bien diffusée gratuitement dans les collèges et lycées britanniques. Une mesure initiée par le Premier ministre Keir Starmer lui-même, qui avait publiquement pris la parole pour vanter les mérites d’un programme extrêmement bien mené et instructif, soulevant des questions sociétales cruellement d'actualité


Prouesses technique et scénaristique  

Adolescence a beau n’être sortie qu’à la mi-mars, c’est peut-être déjà la meilleure série de l’année. En débarquant sur Netflix, et sans avoir pourtant fait l’objet d’une campagne promotionnelle démesurée, elle a immédiatement reçu un accueil extrêmement favorable de la presse et des spectateur·rices, et ce aux quatre coins du globe. 

Un coup de maître des créateurs, Jack Thorne et Stephen Graham, lesquels sont parvenus à mettre en scène de manière magistrale les causes et conséquences du meurtre de Kathy, adolescente de 13 ans, poignardée à de multiples reprises par Jamie, un camarade de classe du même âge. Le tout en (seulement) quatre épisodes tournés intégralement en plan-séquence, renouvelant ainsi cette technique largement exploitée au cinéma, moins sur le petit écran, autour d’un récit nerveux traitant de thématiques liées à la jeunesse. 


Dénoncer la spirale du masculinisme
 

Ces thématiques, quelles sont-elles ? Le harcèlement scolaire, la construction de genre sur les réseaux sociaux, et notamment la culture "incel", ces hommes involontairement célibataires qui accusent les femmes de les rejeter. Dans Adolescence, en immersion au cœur d’un commissariat, puis d’une école, et enfin d’une maison de famille, on comprend que Jamie (époustouflant Owen Cooper, nouveau prodige du milieu), élevé à la dure, impopulaire, s’est peu à peu enfermé dans la spirale du masculinisme, jusqu’à commettre un féminicide. Une misogynie alimentée par son activité sur Internet, où se créent de nombreuses communautés réactionnaires, séduites par la théorie du 80/20 d’Andrew Tate, selon laquelle 80% des femmes ne seraient attirées que par 20% des hommes. 


De l’ordinateur au Parlement 

Au Royaume-Uni, terre de tournage mais aussi théâtre d’attaques de même nature ces dernières années, Adolescence a connu une résonnance toute particulièrement. Jusqu’à dépasser les frontières de l’écran : la série a ravivé le débat sur l’utilisation des téléphones, mais aussi sur l’éducation, levier essentiel pour déconstruire les idéologies véhiculées sans régulation sur le web. Diffuser Adolescence au palais de Westminster ainsi que dans les collèges et lycées depuis une plateforme partenaire à Netflix, comme l’avaient publiquement encouragé la députée travailliste Anneliese Midgley, puis Keir Starmer, en marque la première étape. 

« C'est une initiative importante pour encourager le plus grand nombre possible d'élèves à regarder le programme », a déclaré le Premier ministre, qui a lui-même vu la série avec ses enfants adolescents, comme 66 millions de personnes en deux semaines sur Netflix. Un record pour une mini-série britannique ! 


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