840-560

Un photographe imagine des visions futuristes de Paris avec le réchauffement climatique

Publié le 9 mai 2022 à 12h41

Modifié le 9 mai 2022 à 16h45

par Carla Kulczak

Des montages qui éveille les consciences

Une image vaut mille mots, on peut le voir à travers les travaux de l’artiste digital français Fabien Barrau, qui a créé des photomontages de grandes villes mondiales, dont Paris, face à des représentations dramatiques du réchauffement climatique. Une réalité qui nous paraît lointaine, mais qui est pourtant bien réelle. Sur son compte Instagram, il a partagé une série de clichés instructifs ainsi que des photomontages censés représenter un aperçu du futur sur Terre. Ces clichés ont pour principal objectif de nous faire réaliser les effets désastreux du réchauffement climatique. On peut par ailleurs découvrir une image du Taj Mahal ou encore de la Statue de la Liberté sous les eaux ou encore le Colisée tombé en ruine dans un désert. Des scénarios qui font froid dans le dos, mais qui sont fortement probables dans les années à venir si le réchauffement climatique continue de s’aggraver…

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Fabien Barrau (@fabienbarrau)

Le potentiel Paris du futur

Basé à Paris, le photographe a évidemment exploré la capitale dans son futur apocalyptique, et ce n’est pas rassurant. Comme on peut le voir sur les clichés ci-dessus, seule la Tour Eiffel et ce qu’il reste des 7ème et 16ème arrondissements est encore visible, le reste de la Ville Lumière ayant été engloutie par le sable. Si ces montages dramatisent les effets à court-terme du réchauffement climatique, peut-être fait-il des hypothèses sur notre environnement dans plusieurs centaines d’années. Pour les petits curieux qui veulent voir le futur des autres grandes ville mondiales, vous pouvez découvrir d'autres montages de Fabien Barrau sur son compte Instagram.

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
japonais

Guide Michelin 2025 : 7 restaurants parisiens décrochent leur première étoile

Publié hier à 20h00

par Clémence Varène

Chaque année, la cérémonie du Guide Michelin est attendue comme le Messie par le monde de la restauration. Qui gagnera une étoile ? Qui perdra son titre ? Qui sera distingué par une récompense prestigieuse ? Trêve de suspense, on connaît le nom des vainqueurs pour 2025. Et autant vous dire que le palmarès nous met en joie, simplement grâce à la présence de (spoiler alert) Adrien Cachot, élu unanimement meilleur candidat de Top Chef à jamais, avec son restaurant Vaisseau. 


Un joli palmarès pour la capitale

Et cette année, ce sont 65 nouvelles étoiles qui ont été accordées, soit 3 de plus que l’année dernière, preuve que l’Homme ne cesse de progresser. Parmi eux, ils sont 57 à avoir décroché leur premier macaron (contre 52 l’année dernière). 7 établissements parisiens viennent ainsi d’affirmer leur place dans la course aux étoiles :

Aldehyde – 4e
Hakuba – 1er
Origines – 8e
Vaisseau – 11e
Amalia – 11e
Agapé – 17e
Sushi Shunei – 18e

On regrette un peu le manque de représentation de la rive gauche dans cette liste, mais on tient tout de même à féliciter toutes les équipes ayant réussi à se distinguer cette année. En plus de cette liste, certains restaurants se sont vu remettre des prix spécifiques, comme Fana, dans le 18e, et Mallory Gabsi (restaurant nommé d’après son chef, autre grand favori de Top Chef), dans le 17e. Les deux adresses ont reçu le prix Passion Desserts 2025. De son côté, Valentin Cavalade du Jules Verne (7e) a reçu le prix du Service. Ces établissements rejoignent donc la liste des prestigieux restaurants à faire partie de la sélection du Guide Michelin, après les 8 nouveaux Bibs Gourmands dévoilés au début du mois.


Une pluie d'étoiles

En plus de ces petits nouveaux qui, on l'imagine, doivent être fous de joie, 2 autres restaurants s'ajoutent à cette liste, en recevant leur 2e étoile (distinction obtenue par 8 restaurants en tout).Malheureusement, cette année, aucune adresse parisienne n’a réussi l’exploit ultime de décrocher sa 3e récompense. Et même si c’est un peu triste, 2 étoiles, ça reste quand même très très fort. 

Et après le Jules Verne (7e), la Maison Ruggieri (8e) et l’Orangerie (Hôtel George V, 8e) l’année dernière, ce sont Blanc (16e) et Sushi Yoshinaga (2e) qui atteignent en 2025 le palier très respectable des deux étoiles. Bravo à tous, et on a quand même une petite pensée émue pour les 8 restaurants de la capitale qui ont malheureusement perdu une étoile cette année. Vous faites quand même du très bon travail, les copains.


À LIRE AUSSI