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[EN IMAGES] JO 2024 : les plus belles photos prises sur les lieux d’épreuves

Publié le 5 août 2024 à 19h00

par Clémence Varène


La descente des marches du Grand Palais

Ce moment, pas forcément prévu par les organisateurs, est devenu un passage mythique de toutes les épreuves d’escrime au sein de l’institution parisienne. Les tireurs qualifiés pour les phases finales ont eu la chance, les uns après les autres, de se présenter au balcon du Grand Palais, avant d’en descendre les 55 marches jusqu’à la piste, sous les hourras d’un public enthousiaste. Un moment presque mystique, que les Français ont eu la chance de vivre plusieurs fois grâce à leurs performances inoubliables.


La course en ligne de cyclisme transformée en tableau de Monet

C’est dans les rues de Paris que se sont élancées les 3 et 4 août les coureurs hommes et femmes, pour la traditionnelle épreuve de course en ligne. Sur leurs vélos les plus rapides, ils ont parcouru la capitale, en passant notamment par les ruelles de Montmartre, et devant le Sacré-Cœur. Des images absolument exceptionnelles, qui, non contentes d'illustrer toute la ferveur des supporters, ont suscité une certaine admiration sur Internet pour leur ressemblance avec un tableau de Monet, Rue Montorgueil, 1878. Comme quoi, le sport, c'est vraiment tout un art.


L’impressionnante vague de Teahupoo

C’est déjà l’image la plus célèbre de cette édition des JO. Le surfeur brésilien Gabriel Medina en lévitation au-dessus de l’eau, le doigt en l’air, sa planche de surf à ses côtés. Ajoutez à cela les images absolument stupéfiantes de Ben Thouard, seul photographe accrédité sous l’eau de ces JO, et vous comprendrez pourquoi on est convaincu que les adeptes de la glisse sont définitivement les plus chanceux de cette compétition. Ça ne nous donne qu’une envie, plonger la tête la première.


L'obélisque de la Concorde comme toile de fond du BMX

Qui aurait cru un jour que le plus vieux monument de la capitale deviendrait un jour le théâtre d’une épreuve de BMX freestyle ? Les JO de Paris 2024 l’ont fait, et autant vous dire que ça donne lieu à des images assez époustouflantes. Les athlètes sont à mi-chemin entre ciel et terre, devant l’imposante colonne et sa pointe toute dorée. Une belle métaphore pour ces athlètes prêts à toucher les étoiles pour décrocher l’or, qui donne enfin toute sa street cred’ à cette place si huppée du 8e.


Le triathlon, un 3 en 1 en or

C’est sans doute l’une des épreuves qui nous a offert les plus belles images de la capitale, et pour cause, elle avait le lieu le plus impressionnant de tous. Après une plongée absolument historique dans la Seine, les sportifs ont évolué à vélo dans les rues de Paris, avant de nous offrir une arrivée spectaculaire devant le dôme somptueux des Invalides. Un décor unique au monde, qui a vu le sacre de la Française Cassandre Beaugrand, nous offrant des clichés à couper le souffle.


La Tour Eiffel avec les pieds dans le sable

C’est sans doute l’un des stades les plus impressionnants de la compétition. À deux pas du Parc des Champions, le terrain de beach-volley s’étale aux pieds de la Tour Eiffel, pour nous offrir des points de vue historiques sur la Dame de fer. Une image qui restera gravée dans la mémoire de tous les touristes et Parisiens qui auront la chance d’y passer un moment. Et comme l’opportunité ne se représentera sans doute plus, on propose un nouveau challenge : le premier qui envoie une balle sur l’antenne de la tour sera couronné Roi des JO.


L’équitation s’invite à la Cour du Roi-Soleil

C’est devant le Château de Versailles, dans un cadre absolument royal, que le seul sport mixte des JO prend place. Un cadre tout simplement bluffant pour accueillir la plus élégante des disciplines. Et une chose est sûre, les organisateurs de la compétition n’ont clairement pas voulu faire tache, et ont tout donné sur les décorations, notamment pour le parcours d’obstacles, dont chaque barre représente un symbole de la France (Arc de Triomphe, vignobles bordelais ou vitraux de Notre-Dame). Du très, très beau boulot.

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Guide Michelin 2025 : 7 restaurants parisiens décrochent leur première étoile

Publié aujourd'hui à 20h00

par Clémence Varène

Chaque année, la cérémonie du Guide Michelin est attendue comme le Messie par le monde de la restauration. Qui gagnera une étoile ? Qui perdra son titre ? Qui sera distingué par une récompense prestigieuse ? Trêve de suspense, on connaît le nom des vainqueurs pour 2025. Et autant vous dire que le palmarès nous met en joie, simplement grâce à la présence de (spoiler alert) Adrien Cachot, élu unanimement meilleur candidat de Top Chef à jamais, avec son restaurant Vaisseau. 


Un joli palmarès pour la capitale

Et cette année, ce sont 65 nouvelles étoiles qui ont été accordées, soit 3 de plus que l’année dernière, preuve que l’Homme ne cesse de progresser. Parmi eux, ils sont 57 à avoir décroché leur premier macaron (contre 52 l’année dernière). 7 établissements parisiens viennent ainsi d’affirmer leur place dans la course aux étoiles :

Aldehyde – 4e
Hakuba – 1er
Origines – 8e
Vaisseau – 11e
Amalia – 11e
Agapé – 17e
Sushi Shunei – 18e

On regrette un peu le manque de représentation de la rive gauche dans cette liste, mais on tient tout de même à féliciter toutes les équipes ayant réussi à se distinguer cette année. En plus de cette liste, certains restaurants se sont vu remettre des prix spécifiques, comme Fana, dans le 18e, et Mallory Gabsi (restaurant nommé d’après son chef, autre grand favori de Top Chef), dans le 17e. Les deux adresses ont reçu le prix Passion Desserts 2025. De son côté, Valentin Cavalade du Jules Verne (7e) a reçu le prix du Service. Ces établissements rejoignent donc la liste des prestigieux restaurants à faire partie de la sélection du Guide Michelin, après les 8 nouveaux Bibs Gourmands dévoilés au début du mois.


Une pluie d'étoiles

En plus de ces petits nouveaux qui, on l'imagine, doivent être fous de joie, 2 autres restaurants s'ajoutent à cette liste, en recevant leur 2e étoile (distinction obtenue par 8 restaurants en tout).Malheureusement, cette année, aucune adresse parisienne n’a réussi l’exploit ultime de décrocher sa 3e récompense. Et même si c’est un peu triste, 2 étoiles, ça reste quand même très très fort. 

Et après le Jules Verne (7e), la Maison Ruggieri (8e) et l’Orangerie (Hôtel George V, 8e) l’année dernière, ce sont Blanc (16e) et Sushi Yoshinaga (2e) qui atteignent en 2025 le palier très respectable des deux étoiles. Bravo à tous, et on a quand même une petite pensée émue pour les 8 restaurants de la capitale qui ont malheureusement perdu une étoile cette année. Vous faites quand même du très bon travail, les copains.


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