1. Faire des bonnes affaires à la fin des marchés
Certains marchés sont déjà réputés pour être un peu moins chers à Paris (on pense notamment aux marchés de Barbès, Bastille ou Place des Fêtes). Mais pour les consommateurs astucieux, la bonne technique, c’est d’attendre que les étalages se vident et que les producteurs remballent. C’est le moment de se jeter sur ce qu’il reste, de profiter de produits hyper bradés et de faire le plein de fruits et légumes pour à peine 10 euros.
© christinemg
2. Opter pour des "paniers anti-inflation"
Depuis la flambée des prix, plusieurs enseignes de grande distribution ont adopté le fameux “panier anti-inflation”. L’idée est de proposer une sélection de produits à bas prix, pour permettre aux consommateurs de s’en sortir à la caisse. Intermarché propose donc 500 produits anti-inflation, Casino dévoile son « nécessaire à moins de 1 € », Carrefour introduit ses 200 produits à moins de 2 €, Système U ses « 150 produits à prix coûtant » et Monoprix ses « Monopetitsprix ».
© sylv1rob1
3. Se jeter sur les produits dont la date de péremption est proche
Pour ça, il suffit d’être un peu attentif quand on se balade dans les rayons de notre supermarché. Lorsqu’un produit a une date de péremption proche, le prix baisse, et c’est exactement ça qu’on veut ! Vous pourrez donc voir les fameuses étiquettes colorées qui indiquent -30% à -50% de réduction immédiatement appliqués en caisse.
© ggserban
4. On regarde ce qu’il se passe du côté des applis anti-gaspi
De Too Good To Go à Phenix, certaines applis pensent aussi bien à notre petit ventre qu’à notre porte-monnaie. Avec des prix qui défient toute concurrence, on se fait plaisir à moindre prix (avec des réductions entre 60 et 70%) et on lutte contre le gaspillage alimentaire par la même occasion.
© sylv1rob1
5. Pour les plus téméraires, on passe au freeganisme pour ne rien payer du tout !
Pour faire le plein de courses, avez vous déjà pensé aux poubelles ? C’est le concept du “freeganisme”, qui consiste à fouiller les poubelles de nos supermarchés, où affluent les produits abimées ou dont la date limite de consommation est dépassée (et donc pas vendables), mais sont clairement encore consommables. Un concept anticapitaliste qui n’est pas nouveau, puisqu’il est né aux Etats-Unis dans les années 2000, et qui nous invite à revoir notre rapport à la consommation.
© Julia Merska